le grand ballet

Ils tournoient orgueilleux et se fixe tendrement, cordelettes sous la nuque plumes et fanfreluches qui encadrent leurs yeux, il tournoient encore et toujours, fières et hautains, ils sont porter bien haut, dans leurs fastueux univers, luxuriant couvert d'or et des perles. La nuit s'avance et leurs danses éfrènées en viennent a fatiguer, doucement la parade s'annonce vers sa fin, le masque d'oreille deviens masque de chagrin, bientôt les premiers d'entre eux tomberont, cordelettes brisée, or caillé, plume tordue et perles tombées, ils seront au sol puis rassemblé et emmenés a la fosse redevenu simple et pauvre petits bouts de cartons. C'est toujours la même chose, on s'obstine en vain a se cacher des autres mais dans notre grande comédie les masque toujours a la fin tombent.