2007/09/16

[Dé]-[part]

Le temps étais clément en cette fin d'été, la lumiere chaleureuse et les arbres roussit.
je m'énivrais du parfum de l'humus en cet fin de la belle saison. Mille et un souvenir
dansaient dans mon esprit, prisonier d'un ailleur que les passant ne pouvait saisir malgré leur obstination qu'il opposait au déchiffrage de mon expression.
Ce banc, et ce vieu saule tordu par l'age, dont la ramure généreuse était parsemée de couleure s'étendant du roux au doré. Depuis longtemps ce lieu m'était tous désignée mon sanctuaire, mon navire ailé. Je m'y évadais vers la liberté des grands espaces qu'il m'étaient donnée d'imaginer sous ces grande feuilles. La nostalgie du temps passer, les souvenirs de la jeune femme que j'avais été,les heures noires ou ce lieu avait réussit a me redoner le sourire, mon premier baisé...
J'étais seule encore un fois assise sur ce banc, regardant curieusement les passants pour changer, un sourir léger courrait sur mes lèvres . Je refermais plus étroitement mon menteau le vents était traitre...
"Son" approche fut si silencieuse que je ne m'aperçu pas de suite de sa présence, c'est en sursautant que je pris concience de cette étrange personnage assit sur le bord de Mon banc, balancée entre étonement et curiositée je détaillais le dos de l'inconnu, sa chevelure sauvage flotant doucement dans le vent, les reflet du soleil qui l'a rendai dorée et aussi roussie que les feuille époustouflantes de l'abre sous lequel nous nous trouvions, sa silouhette parfaitement déssinée sous sa vest noire étrangement ressemblante a la mienne.


Un coups de vent plus violent balaya soudainement les feuille rougeoyante, faisant voler mes cheveux et en cet instant précit Il se retourna vers moi, Un silence asourdissant se fit dans mon être quand nos yeux se croiserent.
La brulure de son regard enflamé me fit autant peur qu'elle ne me subjugat devant une telle intansitée, une telle beautée... Toute raison fut balayé je perdit le controle de moi meme et avant de m'en rendre compt je courrait poursuivies par les feuilles prise d'une folle vie par le vent qui semblait s'intensifier avec ma course, laissant derriere moi sac et parapluie.
Quand mes jambes déciderent enfin d'obéir a nouveau a ma raison j'étais a bout de souffle appuyée contre un mur dans le fond d'une ruelle qui m'était inconnue je restais assise en silence a même le sol méditant sur ce qui venait de se produire, son regard avait il vraiment viré d'une rage folle a un étonement inquiet ou étais-ce mon esprit fantasmagorique qui me travaillait?
C'est seulement quand l'illuminateur alluma le lempadaire a proximitée que je me rendis compt que j'avais passée plusieures heures confuse et perdue dans le fond de cette ruelle.
mes muscles endoloris d'etre resté si longtemp dans cette position mirent un peu de temps avant d'accpter de me porter décemment jusqu'a chez moi, les yeux dans le vide et la confusion encore entiere.



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