Elle avait trop trainé. Pendants quelques minutes elle s'était sentie en sécurité et en avait oublié le temps... La petite voix au creux de sa poitrine se mit a crier comme une harpie, elle était tétanisée, incapable de la moindre pensée cohérente ou du moindre mouvement. Deux mains lui attrapèrent doucement les épaules par derrières et la repoussèrent vers l'ombre de la cuisine. Puis le propriétaire de ses mains se dirigeât vers la porte en silence. Elle sentit son cerveaux reprendre doucement du service, la voix hurlait toujours et lui lacérait les entrailles mais elle entendait au-delà. Elle se tapie contre le mur dans l'ombre de la cuisine et s’entoura de ses bras pour tenter de calmer les tremblements de son corps. Il colla son œil a la porte, soupira et ouvrit celle-ci... Elle fut repoussée violemment dés que le clic d'ouverture retentit. D'un geste contrôlé il se plaçât de profil et maitrisa l'homme qui tentait de faire Irruption en lui plaquant les bras dans le dos, après quoi il referma la porte d'un coup de talon . L'homme qui avait fait irruption se dégagea d'un violent coup d’épaule suivit d'un coup de la paume dans le nez de son adversaire. Celui-ci émit un grognement et fut projeté plusieurs pas en arrière par le coups. L’intrus se jeta alors sur lui , lui empoignant le bras afin de tenter de le maitriser. S'en suivit un lutte ponctué de bruit étouffés et de quelque meuble renversés. L’intrus finit par prendre le dessus et après avoir mis son adversaire au sol de plusieurs violent coups de pieds et de coudes, sortit une arme et la pointât vers le propriétaire des lieux qui ses tenait les cotes haletant en tentant de se relever...
-" Gardes tes mains bien visible, ils te préfèreraient certes en vie, mais je n'hésiterais pas a te rajouter quelques trous dans les rotules ou les épaules."
Le propriétaire des lieux leva les yeux vers l'homme qui le menaçait, il avait plusieurs coups au visage qui saignait. Elle remarqua que l’intrus portait un uniforme, c'était l'un de ceux qui avait vérifié la cuisine quand il la cherchait, mais il avait a présent l'air d'avoir l'entièreté de son attention reporté sur l'homme maintenant accroupis au milieu de la pièce.
-" Tu ne pensais quand même pas pouvoir rester a jamais impunis n'est ce pas?" reprit-il.
Une lueur de compréhension illumina les yeux de l'homme blessé.
-" Je ne comptais pas vous laisser impunit en effet..." dit-il sur un ton de défis
Elle n'avait pas al moindre idée de ce qui se passait sous ses yeux mais elle voulait s'en aller. Elle pensa à la fenêtre de la cuisine une seconde, puis, un étrange pincement lui serra l'estomac... Qu'arriverait-il a cette homme si elle le laissait sous la menace de l’intrus? Sans réfléchir elle se glissa comme une ombre vers le dos de l'agresseur, il sentit quelque chose et entama de se retourner mais il était trop tard, elle plaçât ses mains autour de sa tête et d'une geste rapide et précis lui brisa la nuque. L'homme tomba au sol telle une marionnette dont on vient de couper tout les files.
L'homme s'assit au milieu du salon et regarda le mort avant de relever les yeux vers la jeune fille. Son regard la frigorifia. Elle tourna les yeux, s'enroba de ses bras comme pour se protéger et se dirigea vers la porte. Il y fut avant elle et lui fit face pour l’empêcher de passer. Elle baissa la tête et resserra ses bras autour d'elle.
" Excusez-moi, je voudrais partir maintenant. "
Il ne dit rien durant plusieurs secondes qui lui parurent une éternités. Elle commença a craindre de devoir faire une sortie forcé quand elle l'entendit soupirer.
" Mais d'ou tu sorts toi..."
Elle releva la tête pour tenter de répondre mais il ne la regardait plus, il semblait faire un inventaire de la pièce...
"Attends -moi une seconde, je t'en dois une belle et je paye toujours mes dette." Il se tut quelques instant en reportant son regard sur elle..." même si sans ton entrée par effraction rien de tout cela ne se serait produit...".
Il retourna vers la chambre elle entendit du bruit, des objets déplacé et vit même un pantalon volé jusqu’à ses pieds. Il ressortit de la chambre et lui lança ce qui s’avéra être une veste. Il ne s'arrêta cependant pas et continua vers la cuisine ou il fut étrangement silencieux. Quand il en ressortit plus tard il avait un grand sac noir en plus. Il se dirigea vers la porte, l'entrouvrit et jeta u coup d’œil dans le couloir par l’entrebâillement puis se retourna vers elle.
" Après vous princesse" ...
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2013/10/18
2012/01/31
Une longue nuit.-1
Et pas glacée comme fraiche, glacée comme glacée. Elle le regardait toujours avec incompréhension et il sentit sa perplexité revenir au galop. On ne passait pas du feu à la glace comme ça. Il recula le pack de glace et le posa par terre. Il re-testa son front et ses joues, juste pour être sur, elle était toujours beaucoup trop froide. Elle le regardait agir, passive et presque sans expression. il s'assit sur le lit a coté d'elle etse prit la tête entre les mains. Il avait peut-être abusé sur la dose... Mais normalement après autant de temps tout les effets de la boisson aurait du s'être dissipé... Peut-être qu'il devenait trop vieux? Qu'il manquait de sommeil? qu'il était malade?
-"ça fait... mal?"
La phrase sonna maladroitement, d'une voix presque tremblotante. Il tourna la tête vers elle a nouveau, elle le regardait la tête penchée sur le coté, et elle avait presque l'aire de souffrir. Il s’ébroua les cheveux et se frotta énergiquement les yeux avant de se lever et de déclarer:
"No stress gamine, je manque juste de sommeil et être réveillé par les forces spéciales pour ensuite découvrir un mineur dans mon lit ça n'a rien de très reposant"
Elle le regarda à nouveau avec cette air d’incompréhension agrémenté d'un regard qui semblait parfaitement vide.
"He ho? y'a quelqu'un?"
Elle regarda derrière elle avant de se tourner vers lui et de répondre très sérieusement:
"comment puis-je savoir si il y a quelqu'un chez vous? je n'ai pas pris le temps de visiter vous savez. En tout cas je n'ai vu personne d'autre."
Il la détailla un moment, était elle juste... très bête? et était elle vraiment une "fugitive" ? Elle le regardait toujours droit dans les yeux, l'aire d'attendre la suite. elle ne semblais plus mal, et se grattait de temps en temps dans la nuque avec ses grandes mains au longs doigts qui ressemblaient presque a de gracieuses araignées. Quelque chose avait changé mais quoi? Il repensa a la jeune fille épuisé qu'il avait trouvé dans la pénombre de sa chambre, l'aire hagarde et les mains en sangs... D'un geste brusque il l’attrapa par le poignet essayant de tirer une de ses mains a la lumière. Sans vraiment comprendre comment il se retrouva couché par terre sur le dos avec un talon ne lui appartenant pas appuyé sur la gorge et ses deux bras tirer vers le haut si bien que bouger lui écraserait tout à fait la glotte. Il regarda le poids plume qui venait de le retourner sur le sol les yeux ébahit. Ses yeux à elle était maintenant enflammés et effrayés à la fois. Elle respirait très fort. Cette prise avait du lui couter un gros effort mais cela restait impressionnant étant donné son faible poids et sa petite taille. Il aurait pu inverser la situation mais il ne voulait pas l’effrayer plus.
" tes mains gamine, je voulais juste voir tes mains...."
Son regard passa de la crainte au questionnement, elle regarda ses mains, et puis lui. Elle se souvint du docteur et soudain une lumière nouvelle vint éclairer les mots qu'il lui avait dit. Elle lâchât prise, doucement, et recula vers la porte pour se distancer de lui.
"Mes mains vont très bien, merci, je n'ai mal nul part. ...Je m'excuse de vous avoir ..im...importuner, je vais maintenant me retirer..."
Cette dernière phrase avait été prononcée sans assurance, comme si elle essayait de prononcer une formule apprise par cœur dont elle ne connaissait pas tout à fait le sens. Elle se dirigeât à reculons vers la porte et il était bien décider à en savoir plus avant de la laisser partir, mais des coups retentissants a la porte l’empêchèrent de parler. Elle se retourna vers la porte cette fois ci l'aire absolument terrorisé.
Les forces spéciales avaient du finir par se poser des questions...
-"ça fait... mal?"
La phrase sonna maladroitement, d'une voix presque tremblotante. Il tourna la tête vers elle a nouveau, elle le regardait la tête penchée sur le coté, et elle avait presque l'aire de souffrir. Il s’ébroua les cheveux et se frotta énergiquement les yeux avant de se lever et de déclarer:
"No stress gamine, je manque juste de sommeil et être réveillé par les forces spéciales pour ensuite découvrir un mineur dans mon lit ça n'a rien de très reposant"
Elle le regarda à nouveau avec cette air d’incompréhension agrémenté d'un regard qui semblait parfaitement vide.
"He ho? y'a quelqu'un?"
Elle regarda derrière elle avant de se tourner vers lui et de répondre très sérieusement:
"comment puis-je savoir si il y a quelqu'un chez vous? je n'ai pas pris le temps de visiter vous savez. En tout cas je n'ai vu personne d'autre."
Il la détailla un moment, était elle juste... très bête? et était elle vraiment une "fugitive" ? Elle le regardait toujours droit dans les yeux, l'aire d'attendre la suite. elle ne semblais plus mal, et se grattait de temps en temps dans la nuque avec ses grandes mains au longs doigts qui ressemblaient presque a de gracieuses araignées. Quelque chose avait changé mais quoi? Il repensa a la jeune fille épuisé qu'il avait trouvé dans la pénombre de sa chambre, l'aire hagarde et les mains en sangs... D'un geste brusque il l’attrapa par le poignet essayant de tirer une de ses mains a la lumière. Sans vraiment comprendre comment il se retrouva couché par terre sur le dos avec un talon ne lui appartenant pas appuyé sur la gorge et ses deux bras tirer vers le haut si bien que bouger lui écraserait tout à fait la glotte. Il regarda le poids plume qui venait de le retourner sur le sol les yeux ébahit. Ses yeux à elle était maintenant enflammés et effrayés à la fois. Elle respirait très fort. Cette prise avait du lui couter un gros effort mais cela restait impressionnant étant donné son faible poids et sa petite taille. Il aurait pu inverser la situation mais il ne voulait pas l’effrayer plus.
" tes mains gamine, je voulais juste voir tes mains...."
Son regard passa de la crainte au questionnement, elle regarda ses mains, et puis lui. Elle se souvint du docteur et soudain une lumière nouvelle vint éclairer les mots qu'il lui avait dit. Elle lâchât prise, doucement, et recula vers la porte pour se distancer de lui.
"Mes mains vont très bien, merci, je n'ai mal nul part. ...Je m'excuse de vous avoir ..im...importuner, je vais maintenant me retirer..."
Cette dernière phrase avait été prononcée sans assurance, comme si elle essayait de prononcer une formule apprise par cœur dont elle ne connaissait pas tout à fait le sens. Elle se dirigeât à reculons vers la porte et il était bien décider à en savoir plus avant de la laisser partir, mais des coups retentissants a la porte l’empêchèrent de parler. Elle se retourna vers la porte cette fois ci l'aire absolument terrorisé.
Les forces spéciales avaient du finir par se poser des questions...
2011/09/07
Les flammes
Elle avait chaud, beaucoup trop chaud, un feu brûlant la consumait, lui brûlait la peau , elle avait une sensation désagréable, ça tirait, mais c'était beaucoup plus fort qu'un simple tiraillement, la chaleur était si forte qu'elle semblait gelé. Tout autour d'elle il faisait noir et rouge, elle voyait des ombres danser . La petite voix en elle hurlait et se tordait, essayait a tout prix de la faire bouger, partir loin et vite. Elle essaya de se concentrer mais les sensation qui la parcouraient la rendaient confuse comme ensommeillée. Elle avança de quelque pas instinctivement, Elle sentit du verre crisser sous ses pieds. Elle leva les yeux vers ce ciel qui était apparu derrière le sien. Il était toujours aussi sombre, presque métallique. Les ombres qui dansaient loins derrière elle semblèrent devenir plus pressantes et la petite voix qui hurlait en elle se mis a pousser des cris si puissant qu'elle faillit en tomber à la renverse. Elle sentit quelque chose dans ses mains, Elle se remis debout tant bien que mal, s'accrochant a un mur proche, elle marcha jusqu’à l'entrée qu'elle avait emprunté chaque jours de sa vie quand elle allait le rencontrer. Quand elle aurait passer l'angle du mur elle verrait le bâtiment au bout de la cours, la deuxième fenêtre serait illuminé et sa silhouette s'y découperait. Alors elle courrait jusqu'a lui et il saurait quoi faire, il saurait lui quelle était cette folie et elle promettrait de ne plus jamais mettre les pieds dans la pièce interdite, elle promettrai de ne plus jamais lire ces pages maudites n'importe quoi pour que cette folie s’arrête. Elle s'agrippa a l'angle du mur , s'y tira afin de passer sa tête pour voir au delà, dans le fond de la cours. Elle vit ça silhouette se découper dans la deuxième fenêtre, la petite voix au fond d'elle sembla devenir muette un instant... Le temps fut suspendu, ses poumons étaient gonflé d'air, prêt a crier. La silhouette traversa la fenêtre dans une gerbe d'éclat de verre et alla s'écraser dans les graviers un étages plus bas, deux déflagration résonnèrent illuminant de deux flash les silhouette de deux hommes resté dans la pièce là haut derrière les restes de ce qui avait été une grande fenêtre si familière... Leurs ombres se mirent a grandirent et danser avec les flammes puis fondre sur elle. Elle leva les mains pour se protéger de la marée de flammes qui allait fondre sur elle.
Le café était froid mais il ne s'en était même pas rendu compte, il avait retourné les évènements dans ça tête a maintes reprise pour tenter de trouver un sens au évènement qui perturbait sa nuit. Elle, le fugitif, recherché pour une raison obscure par les forces spéciales, avait sauté de l'immeuble d'en face qui appartenait majoritairement a une compagnie de divertissement et productrice de musique, avait tenter de se rattraper sur le mur et avait atterrit chez lui. C'était une jeune fille, d'une quinzaine d'année d'après lui, ce que les forces spéciales semblaient ignorer puisqu'ils avaient parlé d'un fugitif. Maintenant les dormais comme une bien heureuse depuis prés de 5h... L'aube pointerait bientôt le bout de son nez a la fenêtre et il ne savait toujours pas quoi faire. Une plainte sourde le sortit de ses pensés. Elle semblait se tortiller dans son sommeil les traits crispés d’inquiétude. Il s'approcha et porta la main a son front. Il la retira presque immédiatement en poussant un juron, elle brûlait littéralement. Il décida que se précipité a la cuisine pour trouver de la glace ne serait pas une réaction excessive. Il fut de retour dans la chambre en moins d'une minute prêt a poser la glace sur son front mais fut repousser en arrière en rencontrant subitement les bras tendue de la jeune fille qui se releva violemment et criant. Elle lança de grand regards apeuré autour d'elle et sauta hors du lit dés qu'elle l'aperçu. ce qui entraînât trois pas chaloupé de sa part avant qu'elle ne s'écrase sur le mur ou elle réussit a s’agripper pour se maintenir debout tant bien que mal.
-" Hola gamine t'as une fièvre suffisante pour terrasser un taureau alors tu va me faire le plaisir de retourner te coucher!"
Elle ne bougea pas.
-" Quoi, tu joues les vierges effarouchées maintenant? t'as pas l'impression que c'est un peu tard pour ça? après t'être carrément glisser dans mon lit a mes dépends?!"
Elle le regarda avec une expression entre curiosité et incompréhension. Il fit un pas vers elle mais elle ne bougea absolument pas.
-" Tu comprends ce que je te dis? tu parles quelle langues?".
-"je ne comprends pas vraiment tout. je parles la même langue que toi."
Il la regarda un instant hésitant puis repris la parole.
-" Met toi au lit, maintenant."
Elle fit un pas, sembla tester sa stabilité , puis se dirigea vers le lit ou elle s'assit. A son tour il avancea prudemment jusqu’à elle pour ne pas l’effrayer et il lui tendit le pack de glace. Cette fois elle sembla comprendre et s'en empara mais elle le garda en main ou elle le regarda avec curiosité. Alors il s'avança encore plus, reprit le sac de glace et le pressa sur le front de la jeune fille. Cette fois ci elle lui lança un regard perplexe auquel il répondit en posant la main sur une des ses joues, glacées...
Le café était froid mais il ne s'en était même pas rendu compte, il avait retourné les évènements dans ça tête a maintes reprise pour tenter de trouver un sens au évènement qui perturbait sa nuit. Elle, le fugitif, recherché pour une raison obscure par les forces spéciales, avait sauté de l'immeuble d'en face qui appartenait majoritairement a une compagnie de divertissement et productrice de musique, avait tenter de se rattraper sur le mur et avait atterrit chez lui. C'était une jeune fille, d'une quinzaine d'année d'après lui, ce que les forces spéciales semblaient ignorer puisqu'ils avaient parlé d'un fugitif. Maintenant les dormais comme une bien heureuse depuis prés de 5h... L'aube pointerait bientôt le bout de son nez a la fenêtre et il ne savait toujours pas quoi faire. Une plainte sourde le sortit de ses pensés. Elle semblait se tortiller dans son sommeil les traits crispés d’inquiétude. Il s'approcha et porta la main a son front. Il la retira presque immédiatement en poussant un juron, elle brûlait littéralement. Il décida que se précipité a la cuisine pour trouver de la glace ne serait pas une réaction excessive. Il fut de retour dans la chambre en moins d'une minute prêt a poser la glace sur son front mais fut repousser en arrière en rencontrant subitement les bras tendue de la jeune fille qui se releva violemment et criant. Elle lança de grand regards apeuré autour d'elle et sauta hors du lit dés qu'elle l'aperçu. ce qui entraînât trois pas chaloupé de sa part avant qu'elle ne s'écrase sur le mur ou elle réussit a s’agripper pour se maintenir debout tant bien que mal.
-" Hola gamine t'as une fièvre suffisante pour terrasser un taureau alors tu va me faire le plaisir de retourner te coucher!"
Elle ne bougea pas.
-" Quoi, tu joues les vierges effarouchées maintenant? t'as pas l'impression que c'est un peu tard pour ça? après t'être carrément glisser dans mon lit a mes dépends?!"
Elle le regarda avec une expression entre curiosité et incompréhension. Il fit un pas vers elle mais elle ne bougea absolument pas.
-" Tu comprends ce que je te dis? tu parles quelle langues?".
-"je ne comprends pas vraiment tout. je parles la même langue que toi."
Il la regarda un instant hésitant puis repris la parole.
-" Met toi au lit, maintenant."
Elle fit un pas, sembla tester sa stabilité , puis se dirigea vers le lit ou elle s'assit. A son tour il avancea prudemment jusqu’à elle pour ne pas l’effrayer et il lui tendit le pack de glace. Cette fois elle sembla comprendre et s'en empara mais elle le garda en main ou elle le regarda avec curiosité. Alors il s'avança encore plus, reprit le sac de glace et le pressa sur le front de la jeune fille. Cette fois ci elle lui lança un regard perplexe auquel il répondit en posant la main sur une des ses joues, glacées...
2011/01/15
longue nuit
elle les entendaient parler et parcourir l'appartement a l’affût. Elle devait être un peu folle de se cacher à l'endroit le plus visible... elle ne pouvait compter que sur le fait qu'ils pensent tout a fait improbable qu'elle soit caché là. Elle feignait de son mieux d'endormie, ce qui semblait bien fonctionner. Mais si le propriétaire de lieux la voyait... Leur incursion ne dura probablement pas plus d'une petite dizaines de minutes mais cela lui parut beaucoup trop long. Quand elle entendit les hommes partir et la porte se refermer elle en fut presque surprise. Le verrou fit un doux cliquetis quand il fut refermé à son tour mais ensuite, le silence devant total. Il ne revenait pas. Elle s'était assise par terre derrière le lit et regardait vers la porte de la chambre.
Son amie? y avait il eut quelqu'un a coté de lui? Il ne se souvenait pas avoir été trop saoul la veille, il aurait du s'en rappeler si il avait ramener quelqu'un... et de toute façon il n'aurait jamais ramené une fille ici. Il l'aurait ramené au loft ou dans un hôtel... Il était debout dans le couloir et regardant sans la voir la porte. Ils avait dit "un fugitif" et le gars avait parler d'une amie en partant. un fugitif pouvait il se faire passer pour une fille dans son lit? Avait-il le sommeil si lourd qu'une personne inconnue serait en mesure de se glisser dans son lit alors qu'il dormait?
Il avança d'un pas vers la chambre, juste assez pour voir a travers la porte sans être tout a fait exposé. Elle était juste hors du rayon de lumière mais sa chevelure claire la dessinait irréellement dans la pénombre de la chambre. Elle regardait vers lui, silencieuse et le regard presque éteint. Elle ne semblait ni dangereuse ni agressive, juste perdue. Il avança, alluma la lumière de la chambre. Elle cligna des yeux mais ne parla pas. la fenêtre était restée ouverte et faisait voleter le rideaux mais à part ça le temps semblait suspendu.
Il ne bougeait pas et la regardait en silence. Quand il avait allumé la lumière elle s'était soudain sentie tout a fait perdue. Elle sentait un vent froids dans sa nuque, un picotement dans sa jambe et la douleur du bout de ses doigts ne se calmait que très lentement. Elle était lasse... très lasse.
La journée avait été longue la route jusqu’à la ville aussi, elle n'avais pas dormis depuis l'incendie. A cette pensée elle sentit la chaleur revenir. Elle baissa les yeux se ses mains, le sang était toute a fait sécher. Certains de ses ongles semblaient indem. Elle voulut relever les yeux vers l'inconnu elle devait surement dire quelque choses même si elle ignorait quoi mais elle commença a voir flou. Elle senti sa tête tomber lentement et rencontrer en douceur le matelas . Elle cligna des yeux dans une dernière tentative de.. de quoi? elle oublia et accueillit le sommeil dans un soupir de contentement.
A son grand étonnement, la jeune fille venait de s'écrouler. Elle avait aussitôt adapté la respiration régulière du dormeur. N'avait elle aucune conscience de sa situation? Elle était seule dans l'appartement d'un homme et dormait sans défense comme une bien heureuse. Il soupira. Il décida d'allez fermer la fenêtre et de boire un café pour se réveiller. Il avait besoin de réfléchir. Avant de refermer la fenêtre il regarda au dehors, les hommes avaient parlé de trace de sang et il ne pouvait empêcher sa curiosité de le pousser a chercher ces traces. Elles étaient là en effet. des traînées de sang au dessus et un peu sur le chambranle de la fenêtre. Il referma la fenêtre en frissonnant. Elle dormait par terre, la tête sur le lit et les mains dans son giron. Elle portait d'étrange vêtement vert qui lui rappelait vaguement un uniforme. ses cheveux descendaient en vagues dans son dos des mèches folles jaillissant ci et là. Elle avait l'aire svelte et beaucoup trop fragile. Il se décida a la placer sur le lit la portant maladroitement en essayant de ne pas la réveiller mais il semblait qu'elle était partie pour dormir mille ans. Il faillit la lâcher de stupeur quand il vit ses mains...
2010/11/24
Fuite-2
Elle n'avait pas bougé et à peine respiré. Elle avait passivement regardé le sang sur ses mains tracer sa route sur sa chaire et finalement s'épaissir et noircir lentement. Dans l’obscurité de la pièce le sang ressemblais maintenant à des traces de suie grasse. Le bouts de ses doigts lançaient de douleur, un battement lent et régulier. Elle sentait que les choses ne s’arrêteraient pas là... Elle entendait une lourde respiration. Des bruits au loin faisait crier la petite voix en elle, mais elle ne bougerait pas. Un grognement se fit entendre dans la pièce. Quelqu'un semblait dormir. Cela prit un long moment mais ses yeux finirent par s'habituer a la pénombre. Il y avait des ombres partout, une multitude d'objets divers envahissaient presque tout l'espace, une légère odeur de poussière survolait le tout. Elle finit par identifier l'ombre qui devait correspondre au lit et à la personne qu'il abritait.
Les bruits lointains s'affirmèrent peu à peu, des pas dans les escaliers, et des coup frappé à différentes portes, en pleine nuit.... Elle ne pouvait pas rester là à attendre qu'ils viennent frapper à cette porte ci. Elle se leva avec peine et avança maladroitement jusqu’à une porte qu'elle ouvrit dans un grincement. un petit couloir donnait dans une cuisine ou une fenêtre semblait donner sur une arrière cours. Elle leva le battant en guillotine se qui produit un grincement lancinant.
Des coups violemment frapper à la porte brisèrent les dernières brides du rêve de cette merveilleuse blonde pulpeuse. Saisit par l'intensités des coups il tomba de son lit emmêlé dans ses couvertures. Des voix grave et impératives lui priaient d'obtempérer ou ils se verraient dans l'obligation de défoncer la porte. Il avança grimaçant jusqu’à la porte ce demandant quelles gaffes il avait encore faite. Un Homme en uniforme poussé par son élan faillit lui tomber dessus quand il ouvrit la porte. Surprit par l'aire mal réveillé de son interlocuteur l'homme demanda à vérifier les yeux car ils avaient un fugitif. Le dormeur s'écarta sans réfléchir, l'homme avait parlé sur un ton qui n'attend pas de réponse. Il entra dans l'appartement suivit de deux autres hommes et marchèrent directement jusqu'a la fenêtre... ouverte. Bien qu'incommoder par la présence de ces inconnus dans sa chambre il fut soudain presque heureux de les voir là. La fenêtre était fermé quand il s'était endormis, il en était sur.
" il y a bien des traces de sang sur le mur, il doit être blessé "
Un des deux hommes avait parlé à celui qui semblait mener l'opération. Ce dernier se retourna le regard dur et inquisiteur.
" dissimuler un fugitif est passible d'emprisonnement. Si vous savez quelque chose parlé maintenant ou il sera trop tard." Le ton était glacial et tranchant. Le jeune homme répondit maladroitement et d'une voix mal assurée.
"Je.. écoutez.. je ... vous m'avez réveillé, je n'aie vu personne avant vous..."
Le chef des operation ouvrit la bouche pret a cracher la réplique suivante mais le jeune homme le coupa d'une voix qui avait retrouvé un peu d'assurance.
"Par contre je peu vous affirmer que cette fenêtre était fermé quand j'ai été me coucher. Si vous voulez vous donner la peine de vérifier les lieux je me sentirais rassuré". Il avait fait de son mieux pour que sa réplique ne sonne pas sur le ton du défit mais il n'avait jamais su y faire avec toute personnes un tant soit peu autoritaire. L'homme en face de lui le dévisageais férocement, il devina que ses efforts avaient été vains... A nouveau l'homme ouvrit la bouche... au même instant un des deux hommes qui avaient disparut un long moment, réapparut dans la pièce.
" Fenêtre arrière, autre trace de notre fugitif". Le message fut bref et dit si vite que le jeune homme faillit ne pas le comprendre.
Le chef des opérations oublia directement le jeune homme et suivit l'homme qui avait parler... Ils partirent vers la cuisine et le jeune homme resta dans le silence de la chambre. Il se dirigea vers la cuisine mais arrivé au seuil de la chambre les trois hommes ressortirent en trombe. Le chef devant suivit de celui qui avait trouver "la piste" dans la cuisine. Le dernier s’arrêta à la hauteur du jeune homme le regard gêné.
"Désolé pour le dérangement, il manque parfois de civisme. Au moins votre amie ne semble pas s'être réveillée. Bonne soirée". sur ces mots il repartit au pas de course fermant la porte derrière lui. Laissant le jeune homme perplexe derrière celle-ci. Il verrouilla la porte et se redirigea vers la chambre soudain plein d’appréhension... son amie?
2010/03/29
traque
La porte de la chambre était restée entrouverte, elle grinça quand elle s'ouvrit. Un couloir partait à droite vers d'autres portes similaires a celle de la pièce dont elle sortait et a gauche vers une porte imposante d'un métal sombre et ronger par l'oxydation. Une fois encore son estomac se tordit et ce quelque chose hurla a nouveaux au fond d'elle. Comme plus tôt elle lui força le silence. de l'autre coté de la porte elle entendis des pas rapides mais encore lointain. La voix qui hurla voulu l'attirer vers le fond du couloir pour se terrer dans un pièce close mais réussissant de justesse a se maitriser une fois encore elle poussa la lourde porte en métal et se faufila dans un cage d'escaliers. Les pas montaient et étaient dangereusement proche. Aussi silencieusement que possible elle se faufila vers les étages supérieures. A peine eut elle monté trois étages qu'elle entendit la porte un métal qu'elle avait passer un instant plus tôt se cogner voilement. Ils avaient l'aire pressés, elle se sentait bien plus pressée qu'eux. Les escalier arrivèrent a leurs fin six étages plus hauts. Quand elle poussa la porte qui donnait sur le toit elle entendit les hommes rependre leurs assenions et cru comprendre qu'ils s'était séparer en plusieurs groupes pour être plus rapide. Le bruit de leurs pas mourut étouffée derrière la porte qui se referma. La voix qui hurlait gagnait peu à peu du terrain sur son contrôle sa respiration devenait difficile son pas plus précipité, bruyant et imprécis; Une gravure lui revint à l'esprit, elle représentait la "traque d'un renard" durant une chasse. Elle se sentit soudain comme un goupil "traqué" et compris d'où venait cette voix hurlante. Mais elle ne devait pas se laisser diriger par cette bête traqué qui semblait vivre en elle. Elle avait traversé le toit un mince tuyaux était la seule chose qui le reliait au toit le plus proche a plus ou moins quartes mètres de là. Elle ne prit pas le temps de laisser parler son bon sens , elle posa le pied sur le tuyaux se disant que si des funambule le faisaient elle le pourrait aussi et elle commença sa traversée. elle fit deux mètres sans regarder en bas sans trembler, sans trébuché quand le hurlement revint si fort qu'elle en perdit l'équilibre, ses bars se tendirent naturellement dans l'espoir de trouver de quoi s'accrocher, ils rencontrèrent le tuyaux mais glissèrent dessus par chance cette action avait dévié sa chute vers le bâtiment d'en face, après quelques mètres en chute libre elle rencontra un mur ses mains se replièrent par réflexe , une douleur se réveilla dans son épaule, le bouts de ses doigt furent soudain brulant et douloureux et enfin sa chute cessa.
Ses doigts avaient réussit à attraper un rebord de fenêtre, elle se hissa sur celui-ci retenant un gémissement, elle s'appuya contre la fenêtre pour reprendre son souffle et tomba a la renverse quand celle-ci s'ouvrit. Elle entendit a nouveau un bruit fracassant d'un porte qu'on ouvre avec violence, par réflexe elle se mit en boule contre le mur et cessa de respirer de peur d'être entendue. Des bruits de pas parcoururent le toit de l'immeuble d'en face retentissant en écho entre les bâtiments, suivit d'un silence pesant. Elle eut l'impression qu'une paire d'yeux lui transperçait la nuque durant un instant puis le silence fut brisé;
-"R.A.S."
Les bruit de pas s'éloignèrent , elle se détendit doucement et regarda enfin se qui pouvait lui faire aussi mal au bout des doigts. Plusieurs ongles avaient disparut et les bout de tout ses doigt étaient écorchés et sanguinolents. Elle les regarda un long moment puis de ses doigts les plus valides elle prit le papier plié qu'elle avait ranger dans sa poche et le déplia.
Partez vite, partez loin ne faite confiance a personne et ne parlez a personne de" ça"...
2009/09/27
...suite
Sur ces mots il commença a ranger ses affaires et se dirigea vers la porte.
Quand il fut Hors de vue je soupirais doucement mon existence était décidément une suite d'anomalies est de déviances. Je n'éprouvais pas spécialement le besoin de trouver la solution à ces énigmes mais au moins celui de trouver un lieux ou je serais plus ou moins en paix. Mes errances ne m'avaient pas encore lassées, je pouvais bien encore visiter un peu se monde étrange. Je me relevais prenant soudain conscience que j'étais absolument libre de contrainte, le soigneur contrairement au seul soigneur que j'aie jamais connu ne m'avais absolument rien imposer comme le fait de rester alitée ou de prendre un quelconque produit destiné a me remettre sur pieds. Je m'étirais un peu, j'étais toujours légèrement chaude mais la brûlure semblait se dissiper peu a peu. "L'angoisse " quant a elle avait tout a fait disparut. La robe que j'avais protée était en un bien triste état, taché et déchirer en plusieurs endroits, elle n'avait pas été épargnée dans l'affrontement. Je jetais un regard circulaire à la pièce que j'avais longuement regardée mais que je voyais pour la première fois. Une petite fenêtre grillagé derrière laquelle ce même ciel lourdement chargé, qui scintillait de temps à autres d'éclaires. La pièce était moyenne et impersonnelle, un lit, une table, une armoire et les chaises ou s'étaient assis les visiteur plus tôt. Quelques objets utilitaires trainaient ici et là, une lampe de chevet éteinte sur la table ainsi qu'un vielle écritoire, un étuis a vêtement était pendu le longs de l'armoire et ce qui fut ma robe reposait tristement sur la chaise a cotée de l'armoire. Le néon diffusait une lumière tremblotante et froide, pas de quoi se sentir soudainement heureux et frétillant pensais-je. Je me levais doucement , testant mes muscles et articulations, tout semblaient fonctionné plus ou moins bien.
Elle posa les pieds par terre , frissonnant, le sol était couvert d'un carrelage noire étincelant et glacé. Elle alla jusqu'à sa robe mais décida de la laisser à sa place. Elle ouvrit l'armoire et n'y trouva rien. Elle jeta donc son regard sur l'étui a vêtement qui pendait le long de celle ci. Elle le pris le déposa délicatement sur le lit et l'ouvrit. Elle y trouva une tunique d'un vert émeraude et un pantalon a la coupe étrange. Quelque chose au fond d'elle Hurla soudain mais elle le fit taire, elle n'avais pas le temps maintenant. Elle enfila l'étrange ensemble et inspecta la pièce une dernière fois. Il y'avais un papier plié dans l'écritoire qui semblait l'appeler , elle le prit et sorti.
2009/09/07
Cicatrice
"-enfin quoi qu'il en soit cela n'explique pas la fièvre. Il va falloir Daliser." Il se leva et sorti dans le couloir.
"-Daliser?" murmurais-je en moi même comme si me le répetter lui donnerais un sens quelquonque, mais non, ce mot gardait son entier mystère.
Il réapparut alors dans la chambre tenant un petit objet pas plus grand qu'un bic dont un extrémitée partait en spirale alor que l'autre était munie d'une étrange petite boule ouvrager en métale grisonant, dans l'ensemble l'objet resemblais a une tentative artistique étrange d'une
style art nouveau. Il tourna légèrement la boule puis deux petit anneau sur le sentre de l'objet, qu'il plaçât méticuleusement dans un angle précis. Quand ce fut fait il se penchat vers moi en dirigant la petite boule vers mon sternum il frappa d'une impultion le coté en spiral et le petit obejt se mis a trembler, pui a briller et enfin un petit rayon lumineux étrange en sorti et sembla fond a travers tout la lumière fut d'abord incolor ne me donnant qu'un impression de froid, ensuite elle me sembla devenir chaude et enfin la lumière disparut. Il pris alors un autre instrument qui resemblais a un petit verre a alchol rehaussé d'ouvrage en métale et y pencha la boule. La lumière s'y deversa, tournoya et puis se transphormant peu a peu en fumé s'éleva dans l'aire en tournoyant. J'avais bien lui a l'époque ou j'étais encore là-bas des choses qui décrivait des scenes comme celle-ci, mais la vivre réellement était toute autre chose.
Les tournoiement formèrent peu a peu des lettres et les lettres formère des mots.
Il commencea a lire avec un interet plus que profesionel les révélation du "Dali" .
Quand il eu finit la fumée se dissipa et il se tourna vers moi.
"-pas d'infextion donc, et apparement cet organisme fascinant a une propention extrodinaire a la reconstitution des chaires et a la cicatrisation. Remarquable. Je ne vous demanderais pas comment cela est possible apres tout je ne suis que medecin et non enquêteur mais si j'étais vous je n'ébruiterais pas trop cela. La science est folle en ces temps de trouble et vos particularitée pourrais vous être désagréables si elles étaient remarqués par de mauvaise personne..."
2009/09/06
Emergence
Je rêvais.
Je rêvais de ma "mère" et des évènements de cette nuit là. L'uniforme Gris des hommes qui avaient tout fait bruler était partout et tout le rêve se tentait de cette couleur qui me donnais l'impression de suffoquer. Tout brûlait, la cloche s'éfondrait, derrière mon ciel, un ciel gris et lourd brillait d'éclaire et d'eau: de la pluie. Mais le feu perdurait, mordant ce ciel gris, dévorant tout jusqu'a s'attaquer à mes chaires me dévorant doucement...
Je rêvais de ma "mère" et des évènements de cette nuit là. L'uniforme Gris des hommes qui avaient tout fait bruler était partout et tout le rêve se tentait de cette couleur qui me donnais l'impression de suffoquer. Tout brûlait, la cloche s'éfondrait, derrière mon ciel, un ciel gris et lourd brillait d'éclaire et d'eau: de la pluie. Mais le feu perdurait, mordant ce ciel gris, dévorant tout jusqu'a s'attaquer à mes chaires me dévorant doucement...
Je me réveillais soudainement. Ma vision était brouillé, la sueur perlait partout sur mon corps et j'avais l'impression que chaque particule de mon être expérimentait ce qui s'appellent "douleur" dans beaucoup de livres que j'avais volé la-bas. Je compris soudain que ce que j'avais ressentis plus tôt dans la soirée, durant le combat, était probablement aussi de la "douleur". Je voulu me relever. deux mains m'en empêchèrent. Je focalisais alors mon attention sur mon entourage a travers le voile flou qui était posé sur mes yeux.
Une des mains appartenant au garçon de la ruelle et l'autre à la maigrichonne. Ils avaient tout deux un regard grave semblant tenter déchiffrer quelque chose sur mon visage qui n'était toujours pas enclin à exprimer toute les nouvelles sensations que j'avais expérimentés depuis que j'étais partie de là-bas.
Les images des flammes me revinrent quelques instants et la torsion repris doucereusement dans mes entrailles. Mon visage du changer car ils se lancèrent tout deux pour parler en même temps. Ils se coupèrent l'un l'autre dans un gargouillis de phrases incompréhensible. Elle rougit et tourna le regard vers ailleurs , alors que lui souris espièglement la regardant avec insistance avant de reprendre son sérieux et de déclarer.
"-Cesse de t'angoisser, j'avais juste mal interpréter la situation."
Sa voix était celle de quelqu'un trop sur de sois et fortement fière de sa personne, comme "mère" avait pu l'utiliser a maintes reprises avec moi lors de nos disputes auxquelles elle avait coupé court comme a son habitude.
Je méditais les paroles du garçon, hésitant quand à l’utilité du mot "Angoisser" dans cette situation. L'angoisse pouvais correspondre à ce que j'avais ressentis cette nuit-là et donc au rêve dont je venais de me réveiller. C'était un sujet sur lequel je ne voulais pas m'arrêter et surtout pas avec lui.
Mon visage du changer durant mes réflexions car il afficha soudain un air satisfait.
Mon visage du changer durant mes réflexions car il afficha soudain un air satisfait.
D'une voix hésitante la maigrichonne intervint alors.
"-Merci..."
Je la regardais un instant en silence, puis je regardais vers le garçon, mais comme le regard de la maigrichonne il était concentré sur moi. Elle me parlais donc a moi et je répondais, perplexe:
Je la regardais un instant en silence, puis je regardais vers le garçon, mais comme le regard de la maigrichonne il était concentré sur moi. Elle me parlais donc a moi et je répondais, perplexe:
"-A quel sujet?"
Ils affichèrent tout deux de l'étonnement durant quelques secondes puis le garçon repris la parole.
"-Ça fais plaisir d'avoir des fans qui ont un minimum de mordants" il se tourna vers l'autre fille
"-Et sa fait plaisir d'avoir des fan assez borné pour refuser de ce laisser impressionner, mais cette réaction tenait de l’inconscience" il se tourna a nouveau vers moi "-Quoi qu'il en sois et même si ton intervention était aussi stupide que la sienne vu ton état actuel , c'est bien grâce a toi si elle est en un seul morceau maintenant!" Il avait un sourire satisfait qui me fit répondre sans réfléchir.
"-fan comme fanatique?" Les mots se glissèrent entre mes lèvres sous le signe de l'incompréhension. Cette fois le garçon semblât partagé entre perplexité et mécontentement mais il ne répondit pas et le silence envahis la pièce alors que leurs regards conjugué continuais a ma détailler intensément le visage. Je me sentis étrange au bout d'un moment et sans trop comprendre pourquoi je me mis à parler pour combler ce silence et tenter de les détourner de moi.
"J'ai aidez un chaton paralysé à détaler avant que les loups n'attaquent. quoi cela a t il un rapport avec le fanatisme?" Ma question était réel, j'avais lu quelques trucs à propos de fanatisme et personnages connus qui était suivit par des foules d'adorateurs et de fanatique sans jamais vraiment comprendre comment on savait qui devait être qualifié de fanatique et pourquoi certaine personnes ou choses devenaient sujet d'adoration.
La maigrichonne eu une expression étrange et le garçon s’accrocha une étrange expression aux lèvres, il avait l'air mécontent et souffrant a la fois.
La porte s'ouvrit avec une telle vitesse que je m'étonnais quand elle n'alla pas se fracasser cotre le mur attenant à celle-ci.
La porte s'ouvrit avec une telle vitesse que je m'étonnais quand elle n'alla pas se fracasser cotre le mur attenant à celle-ci.
Un Petit homme trapu, venait de faire son entrée avec un regard sombre et l'aire vraiment mécontent. Me rappelant fortement le regard que mère m'avait lancé quelque semaine auparavant quand elle avait découvert les livres que j'avais subtilisé a l'étage interdit.
"-Dehors"
Ses mots étaient d'un velours glacial et vinrent figer les deux personnes qui m'encadraient.
La maigrichonne se leva d'un bond et partis sans un bruit. Le garçon quand a lui prit changea vers une autre expression étrange mi-contentement mi-agacement et s’affalât un peu plus sur sa chaise. Mais un deuxième regard sombre de l'homme trapu fondit droit sur lui et ne laissa la place a aucune résistance, il se leva et marmonna entre ses dents en sortant mais ses mots s'estompèrent un peu trop vite pour que la distance y ai joué un rôle quelconque.
Le nouvel arrivant refermât la porte et se tourna vers moi en affichant un air apaisant.
Le nouvel arrivant refermât la porte et se tourna vers moi en affichant un air apaisant.
"-Comment vous sentez vous?"
"-bien"
Il haussa les sourcils et son air bienveillant se teinta de réprobation.
Il haussa les sourcils et son air bienveillant se teinta de réprobation.
"Avec votre température , vos hématomes, votre paume tranché, le trou béant laissé par je ne sais quoi dans votre épaule et tout ce que je n'ai pas envie de citer;je mettrais votre stupide réponse sur le coup de la divagation. Décrivez moi vos douleurs avec plus de sérieux pendant que j'examine l'état des plaies, et n'omettez aucuns détails, avec ce types de plaies la gangrène et peut-être déjà installée."
Je l'observais avec curiosité. La moitié des mots qu'il avaient utilisé étaient abstrait voir complètement inconnu pour moi. Cependant il avait l'air très sérieux et inquiet. Je tentais donc d'estimer mon état. Après quelques instant de concentration durant lequels il s'assit sur la chaise laissé libre par la maigrichonne et déposât une mallette sur la tablette qui se trouvait a coté du lit je réalisais que je ne ressentais plus aucune "douleurs" de plus que la chaleur intense qui me brûlait amoureusement et "l'angoisse" qui tordait mes entrailles et mes poumons.
"j'ai chaud" tentais-je de le satisfaire.
Il commençait a s'affairer sur mon épaule et sembla ne pas entendre ma réponse...
2009/09/03
séquelles
Le silence se fit assourdissant en contraste avec le concert d'os qui se brisent et dents cassées qui venait de s'achever. Dans mon épaule la sensation d’inconfort était devenue aiguë, insistante et intolérable. La lame brisé était toujours dedans et mes mouvements l'avaient bien faite voyager. La belle fille venait de disparaître au coin de la rue. Ses deux sbires étaient étendues au sol entre les flaques d'immondices . Je ne sais pas quand exactement je m'étais retrouvé assise par terre contre le mur juste a coté du petit halo de lumière que faisait le lampadaire.Celle tremblait doucement de façon irrégulière accompagné d'un "Bzzz" tout aussi irrégulier. De fines gouttes commençaient à tomber. Je pensais qu'il faillais sans doute mieux extirpé la lame l'identifiant comme fortement responsable de cette sensation de plus en plus difficile à encaisser. La lame tomba dans un bruit cristalin, mes mains étaient rouge de mon sang et des bleu pointaient sur mon corps la ou j'avais reçus des coups. J'observais avec curiosité ma paume entaillée, j'avais oublié son état dans tout ce fouillit qui venait d'avoir lieux.
La pluie s’intensifia faisant sonné l’abat jour de la lampe et dessinant peu a peu des ruisseaux dans la ruelle. En fait tout me semblait si étrange et lointain, comment cela pouvait il être réel? Du temps ou j'avais été là-bas, j'avais tout fais pour me convaincre de cette réalité, je voulais vivre pour de vrais et a force d'imagination j'avais ressentit toutes ces choses décrites par ces mots étranges. Maintenant que tout était vrais cela me paraissait tellement irréel. Je fut violemment arraché de ma contemplation par une pairs de mains. Celles-ci m'agrippèrent rudement à la gorge me soulevant de terre jusqu’à et me plaquant brusquement contre le mur. Je perdis pied et pendouillais comme un pantin au bout du bras d'un inconnu au regard assassin. Je m’apprêtais a riposter mais mon corps semblât en décider autrement. Je devais avoir quelque os briser, car ma jambe droite de répondit pas a mes commandes. Je réalisais aussi que chaque respiration que j'essayais de faire pour m'oxygéner faisait naitre un inconfort grandissant a travers ma cage thoracique si bien que la sensation devint vite plus insoutenable que celle dans mon épaule. Je sentis ma vue se voiler a mesure que s'éveillait a ma conscience les différentes partie de mon corp que des lames avaient entaillés. Mais je ne pu penser beaucoup plus longtemps, l'inconnu m'enserrait tant la gorge que je sentais ma tête gonfler.
La pluie s’intensifia faisant sonné l’abat jour de la lampe et dessinant peu a peu des ruisseaux dans la ruelle. En fait tout me semblait si étrange et lointain, comment cela pouvait il être réel? Du temps ou j'avais été là-bas, j'avais tout fais pour me convaincre de cette réalité, je voulais vivre pour de vrais et a force d'imagination j'avais ressentit toutes ces choses décrites par ces mots étranges. Maintenant que tout était vrais cela me paraissait tellement irréel. Je fut violemment arraché de ma contemplation par une pairs de mains. Celles-ci m'agrippèrent rudement à la gorge me soulevant de terre jusqu’à et me plaquant brusquement contre le mur. Je perdis pied et pendouillais comme un pantin au bout du bras d'un inconnu au regard assassin. Je m’apprêtais a riposter mais mon corps semblât en décider autrement. Je devais avoir quelque os briser, car ma jambe droite de répondit pas a mes commandes. Je réalisais aussi que chaque respiration que j'essayais de faire pour m'oxygéner faisait naitre un inconfort grandissant a travers ma cage thoracique si bien que la sensation devint vite plus insoutenable que celle dans mon épaule. Je sentis ma vue se voiler a mesure que s'éveillait a ma conscience les différentes partie de mon corp que des lames avaient entaillés. Mais je ne pu penser beaucoup plus longtemps, l'inconnu m'enserrait tant la gorge que je sentais ma tête gonfler.
"NON!"
Ce mot résonna dans l'air comme un fouet qui claque la jeune fille que j'avais protégé de la belle garce venait d'émerger du coin de la ruelle en hurlant avec un visage déformé par la terreur pour une raison qui m'échappais. Elle couru vers le jeune Homme s'agrippant de tout ses forces aux bras qui me maintenaient en apesanteur. Ma dernière pensée fut que ce gars aurait pu passer pour la "rock star" qui figurait sur une des photo des vieux albums de "mère" avec sa veste en cuire abimé et couverte de clous.
2009/08/25
Chapitre 1
La nuit tombait doucement sur les dédale des ruelles de cette immense citée. Rien avoir avec ce que j'avais connu jusqu’à ce jour. Au cœur de la ville pointaient de hauts immeubles, tous d'une quinzaine d'étages au moins. Autour du cœur de grattes-ciels des rues commerçantes trop fréquentées serpentaient. Des gens partout, des être humains dans toute leur réalité; Bruyants, mouvant, pressés. Je m'étais peu à peu enfoncé dans des lieux plus sombres. Cette foule grouillante me faisait peur en quelque sorte et je m'étais instinctivement éloigné du cœur battant de la ville vers ses recoins plus calmes . Malgré mon absence de connaissances concernant tout autres lieux autres que celui ou j'avais toujours vécu avant , je pouvais aisément comprendre que ces quartiers étaient les quartiers "chauds" de cette citée. Mes lectures vagabonde m'avaient nourries d'images sombres qui correspondaient assez bien a ce que je voyais.
Les rues étaient peu à peu devenues des ruelles et les ruelles étaient devenue de plus en plus étroites. quelques clubs ici et là et de grand Hangars qui commençaient à être de plus en plus présent si j'allais vers le nord, vers la baie. Je changeais de direction, "rien de plus mal famée que les ports de nuit" avais-je lu un jour. Non que j’eusse compris exactement ce que cela voulait dire... Mais les héros de mes livres avaient toujours tendances à vivre des choses se rapprochant de la souffrance dans ce genre d’environnement.
La ruelle que j'empruntais me mena derrière un grand bâtiment où un petit groupe de jeunes filles attendaient munies d’appareils photos. Je les observaient un instant elles étaient vêtues dans un même genre: négligé, sombre, pantalon troué, bijoux scintillants aussi bien dans leurs nez que leurs oreilles et arcades sourcilières et une couche impressionnante de maquillage sombre autour des yeux et sur les lèvres. Je m’apprêtais à quitter les lieux quand d'une ruelle perpendiculaire sortirent trois filles. La première était exceptionnellement belle à mes yeux avec de court cheveux en batailles brillants malgré la luminosité réduite , de grand yeux en amandes d'une couleurs sombre et de fine lèvre merveilleusement dessinées. Ses lèvres se tordaient étrangement dans un sourire qui n'avait rien de joyeux et il émanait d'elle une aura qui me fit froid dans le dos. J'observais ensuite les deux géantes qui l'encadraient et déjà milles passage de livres lu et relu me sautaient a l'esprit: Elles devaient faire office de gardes du corps. Les nouvelles arrivantes étaient vêtues comme les jeunes filles déjà présentes, sauf le belle qui portait une robe extrêment courte, tres révélatrice et de couleurs rouge sang. Je me préparais à me détourner quand les trois filles marchèrent droit sur le groupe qui se disloca et s'éparpilla vers les ruelles alentour. La tension était palpable et piquée de curiosité j'observais à nouveau. Toutes les jeunes filles étaient parties sauf une qui se tenait dos vouté devant la porte de service où un petit lampadaire de nuit avait fini par s'allumer. Elle ne bougeait pas et regardait obstinément ses pieds en tremblant. Aucunes des quartes filles restantes ne semblaient avoir remarqué ma présence et elle commencèrent à parler. Je n'entendais que des marmonnement à cette distance. La fille escorté haussa le ton alors que la maigrichonne qui semblait prète à s'accorcher à la porte pour rester là, se voutait de plus en plus. Cette petite maigrichonne me rappela Mist, un chaton gris que j'avais en secret fait sortir de l'étude de "mère" a son insu. C'était le plus petit chaton d'une porté, le plus faible mais surtout le plus tenace. Je fut sortie de mes pensées par le bruit sec qui retentit soudain. La maigrichonne fut propulsé contre la porte. La belle escortée avec lancée sa main en avant de toutes ses forces.
Cette fille était folle. J'avançais vers la scène de l'agression. La folle sorti une lame et leva le bras. La jeune fille encore sonnée par le choc ne pu réagir , la lame s'abattit...
Je la rattrapais de la mains juste devant le visage de la pauvre victime tremblotante et dont le coté du crâne s'ensanglantait lentement. La belle, dans un geste réflex, lâchât la lame que je laissa choir puis sembla prendre un long moment pour comprendre ce qui venait de ce passer .
Ses yeux sombres se posèrent sur moi d’abord pleins de questionnement , puis, s'embrassant peu a peu d'une rage ardente. Sa voix sorti claire et froide, mais de légères notes sur-aiguës la teintaient.
"-Et puis-je savoir en quelle honneur une petite traîner anonyme ose t elle empêcher mon châtiment?"
Elle posa les mains sur les hanches me toisant , je lui rendis un regard calme et plat. j'avais agit d’instinct, je savais que j'avais bien fais et ne comprenais pas vraiment sa question. Mais les sanglots étouffé de la gamine recroquevillé derrière moi firent naitre un sentiment qui m'était inconnu dans la poitrine. Brulant comme la bile aux bord des lèvres. Je ne comprenais pas se qui m'arrivais et tentais de gardé mon calme. Se qui extérieurement sembla être une réussite. Ignorant la belle garce je me détournais.
"-Il faut partir maintenant".
dis-je d'une voix douce à la jeune fille terrorisé lui effleurant l’arête du menton.
elle fit quelques pas puis se mit à courir dans la ruelle qui menait sans doute a l'avant du bâtiment. Sage décision ces lieux plus fréquenter seraient certainement moins dangereux. Je fut sortie de mes pensé par une sensation aiguë et piquante dans l'épaule. J'entendi un bruit de métal fin qui se casse. Je baissais les yeux vers le lieux de la sensation croisant sur mon passage le bras de la belle jeune fille au bout duquel, serré dans ses doigts crispés ,trônais une autre lame, semblable a la précédente mais cette fois-ci brisée. L'autre bout de lame étant resté coincé dans mes chaires. je levais les yeux vers elle. Elle cracha littéralement ces mots:
"-De quelle droit la fais tu partir?! Tu veux mourir?"
ses yeux brillaient , son visage était déformé et tordu.
Ses deux gardes du corps plongèrent vers moi. Elle les arrêta d'un geste de la main.
Ses deux gardes du corps plongèrent vers moi. Elle les arrêta d'un geste de la main.
"-Garces."
Se mot se glissa amoureusement entre mes lèvres, incontrôlé, venu des méandres de mes lectures intempestives, ce mot dont je n'était pas sur du sens s'était imposé de lui-même . Un sourire ironique dut se dessiner sa suite car les yeux de la belle s'écarquillèrent et les jointures de ses doigts blanchirent quand elle serra les points.
Sa colère sembla se déchainer et son poings partit en avant. Je n’eu aucun mal à l'éviter ses gestes étaient rendu imprécis par la rage.
Ses deux compagnes se jetèrent a nouveau sur moi et cette fois-ci rien ne les arrêta...
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