2009/08/25

Chapitre 1

La nuit tombait doucement sur les dédale des ruelles de cette immense citée. Rien avoir avec ce que j'avais connu jusqu’à ce jour. Au cœur de la ville pointaient de hauts immeubles, tous d'une quinzaine d'étages au moins. Autour du cœur de grattes-ciels des rues commerçantes trop fréquentées serpentaient. Des gens partout, des être humains dans toute leur réalité; Bruyants, mouvant, pressés.  Je m'étais peu à peu enfoncé dans des lieux plus sombres. Cette foule grouillante me faisait peur en quelque sorte et je m'étais instinctivement éloigné du cœur battant de la ville vers ses recoins plus calmes . Malgré mon absence de connaissances concernant tout autres lieux autres que celui ou j'avais toujours vécu avant , je pouvais aisément comprendre que ces quartiers étaient les quartiers "chauds" de cette citée. Mes lectures vagabonde m'avaient nourries d'images sombres qui correspondaient assez bien a ce que je voyais.
Les rues étaient peu à peu devenues des ruelles et les ruelles étaient devenue de plus en plus étroites. quelques clubs ici et là et de grand Hangars qui commençaient à être de plus en plus présent si j'allais vers le nord, vers la baie. Je changeais de direction, "rien de plus mal famée que les ports de nuit" avais-je lu un jour. Non que j’eusse compris exactement ce que cela voulait dire... Mais les héros de mes livres avaient toujours tendances à vivre des choses se rapprochant de la souffrance dans ce genre d’environnement.
La ruelle que j'empruntais me mena derrière un grand bâtiment où un petit groupe de jeunes filles attendaient munies d’appareils photos. Je les observaient un instant elles étaient vêtues dans un même genre: négligé, sombre, pantalon troué, bijoux scintillants aussi bien dans leurs nez que leurs oreilles et arcades sourcilières et une couche impressionnante de maquillage sombre autour des yeux et sur les lèvres. Je m’apprêtais à quitter les lieux quand d'une ruelle perpendiculaire sortirent trois filles. La première était exceptionnellement belle à mes yeux avec de court cheveux en batailles brillants malgré la luminosité réduite , de grand yeux en amandes d'une couleurs sombre et de fine lèvre merveilleusement dessinées. Ses lèvres se tordaient étrangement dans un sourire qui n'avait rien de joyeux et il émanait d'elle une aura qui me fit froid dans le dos. J'observais ensuite les deux géantes qui l'encadraient et déjà milles passage de livres lu et relu me sautaient a l'esprit: Elles devaient faire office de gardes du corps. Les nouvelles arrivantes étaient vêtues comme les jeunes filles déjà présentes, sauf le belle qui portait une robe extrêment courte, tres révélatrice et de couleurs rouge sang.  Je me préparais à me détourner quand les trois filles marchèrent droit sur le groupe qui se disloca et s'éparpilla vers les ruelles alentour. La tension était palpable et piquée de curiosité j'observais à nouveau. Toutes les jeunes filles étaient parties sauf une qui se tenait dos vouté devant la porte de service où un petit lampadaire de nuit avait fini par s'allumer. Elle ne bougeait pas et regardait obstinément ses pieds en tremblant. Aucunes des quartes filles restantes ne semblaient avoir remarqué ma présence et elle commencèrent à parler. Je n'entendais que des marmonnement à cette distance. La fille escorté haussa le ton alors que la maigrichonne qui semblait prète à s'accorcher à la porte pour rester là, se voutait de plus en plus. Cette petite maigrichonne me rappela Mist, un chaton gris que j'avais en secret fait sortir de l'étude de "mère" a son insu. C'était le plus petit chaton d'une porté, le plus faible mais surtout le plus tenace. Je fut sortie de mes pensées par le bruit sec qui retentit soudain. La maigrichonne fut propulsé contre la porte. La belle escortée avec lancée sa main en avant de toutes ses forces.
Cette fille était folle. J'avançais vers la scène de l'agression. La folle sorti une lame et leva le bras. La jeune fille encore sonnée par le choc ne pu réagir , la lame s'abattit...
Je la rattrapais de la mains juste devant le visage de la pauvre victime tremblotante et dont le coté du crâne s'ensanglantait lentement. La belle, dans un geste réflex, lâchât la lame que je laissa choir puis sembla prendre un long moment pour comprendre ce qui venait de ce passer .
Ses yeux sombres se posèrent sur moi d’abord pleins de questionnement , puis, s'embrassant peu a peu d'une rage ardente. Sa voix sorti claire et froide, mais de légères notes sur-aiguës la teintaient.
"-Et puis-je savoir en quelle honneur une petite traîner anonyme ose t elle empêcher mon châtiment?"
Elle posa les mains sur les hanches me toisant , je lui rendis un regard calme et plat. j'avais agit d’instinct, je savais que j'avais bien fais et ne comprenais pas vraiment sa question. Mais les sanglots étouffé de la gamine recroquevillé derrière moi firent naitre un sentiment qui m'était inconnu dans la poitrine. Brulant comme la bile aux bord des lèvres. Je ne comprenais pas se qui m'arrivais et tentais de gardé mon calme. Se qui extérieurement sembla être une réussite. Ignorant la belle garce je me détournais.
"-Il faut partir maintenant".
dis-je d'une voix douce à la jeune fille terrorisé lui effleurant l’arête du menton.
elle fit quelques pas puis se mit à courir dans la ruelle qui menait sans doute a l'avant du bâtiment. Sage décision ces lieux plus fréquenter seraient certainement moins dangereux. Je fut sortie de mes pensé par une sensation aiguë et piquante dans l'épaule. J'entendi un bruit de métal fin qui se casse. Je baissais les yeux vers le lieux de la sensation croisant sur mon passage le bras de la  belle jeune fille au bout duquel, serré dans ses doigts crispés ,trônais une autre lame, semblable a la précédente mais cette fois-ci brisée. L'autre bout de lame étant resté coincé dans mes chaires. je levais les yeux vers elle. Elle cracha littéralement ces mots:
"-De quelle droit la fais tu partir?! Tu veux mourir?"
ses yeux brillaient , son visage était déformé et tordu.
Ses deux gardes du corps plongèrent vers moi. Elle les arrêta d'un geste de la main.
"-Garces."
Se mot se glissa amoureusement entre mes lèvres, incontrôlé, venu des méandres de mes lectures intempestives, ce mot dont je n'était pas sur du sens s'était imposé de lui-même  . Un sourire ironique dut se dessiner sa suite car les yeux de la belle s'écarquillèrent et les jointures de ses doigts blanchirent quand elle serra les points.
Sa colère sembla se déchainer et son poings partit en avant. Je n’eu aucun mal à l'éviter ses gestes étaient rendu imprécis par la rage.
Ses deux compagnes se jetèrent a nouveau sur moi et cette fois-ci rien ne les arrêta...

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