2009/06/28

Chemin-1

Les gouttent de pluie qui avaient avec violence attaqué les vitres dans les premieres heures de mon voyages, s'étaient peu à peu transphormées en grèle bien plus bruyante jusqu'a enfin se métamorphoser en boules cottoneuses si fines et si légères que plus aucuns autres sons que celui de la mécanique en action ne vint troubler mes pensées. La nuit était doucement tombé le paysage gris c'étais uniformiser sous une épaisse couche de neige, mais la chouche de nuage trop épaisse ne laissait pas filtrer les rayons de lune qui aurait éclairer d'une lueure fantomatique ces étendues blafarde qui enmenaient et perdaientt mon regard dans le vague. On ne pouvait deviner que la ligne d'horizon entre les flocons, de temps a autre un villages ou encore un cloché...
La direction que j'avais prise m'emmenait loins du cente industrialisé de cette contrée, dans les profondes campagnes réputées pour leur précarité et leur pauvreté avant de repartir vers une capitale étrangère. Il me serait plus aisé de paser inaperçue dans un lieux ou personne d'un statut plus haut que fonctionnaire ne voudrait mettre le pieds. Une peur tordait amoureusement mes entrailles plus le train s'enfonçait dans la nuit. Mon unique voisin de compartiment me sortit de mes pensées une fois de plus par un des ses tresseauts bruyant de son ronflement. Je n'avais pas sommeil, mais il était claire que même ayant sommeil il me serait extrêmement hardu de m'endormir a coté de cet homme. Je replongeait mes yeux dans le paysage, la neige tombait plus fine et plus eparse. "Bientot..." murmurais-je " Bientot elle cessera de tombé et l'astre lunaire entammera sa danse silencieuse sur les plaines eneigé." Ce n'était pas de moi, je citais, j'avais pris durant mes études une spétialisation en littérature poétique. Ces phrases chantante s'insinuait en moi dés que je laissais mon esprit courir, je les aceuillaient toujours avec délectation. Les personnes qui avaient écrits ces doux assemblage de mots avait vecus des choses si forte et si rude , d'apres mes livre d'histoire. La grande majorités d'entres elles étaient mortes tragiquement, mais elles ne semblaient jamais oublié la douceur que la vie peu prendre en toute simplicitée. Je me laiçais bercé par le ballotement du train combatant méthodiquement la peur quand elle refesaient surfaces suite a mes sombres réflections. La libérté était effrayante, personne sur qui compter et le devoir de prendre ses responsabilitées. Serais-je capable de me suffire a moi même et de me faire vivre? chaqunes de ces questions egoissantes fut repousser fermemant, les choses viendraient, je les laisseraient venir, je profiterais de chaque bouffées de vie, qu'elles soient tienté de peur, d'angoisse ou de joie. Vivre c'est prendre les choses comme elles viennent et la accomoder a notre convenance. Je somrais.
Une accoup me sortis de mon mis someil, la nuit devait être bien avancé. A travers la fenêtre, la couche nuageuse s'était presque totalement disprsé ne laissant que quelques minces lembeaux blanc tacher le ciel. La lune irradiait a travers la neige dans laquelle elle se reflètait, elle était presque pleine. Le train s'aretta dans une toute petite gare avec un seul et miniscule quai flanqué d'un petit batiment de service je supposa. Le quais était si petit que seuls deux wagons pouvaient y faire débarquement à la fois et le hazard fut que mon wagon fut placé a hauteur du quais. Je ne cru pas au hazard en fait. J'empoignait mes effets, refermant mon menteau autour de moi et marchais dans le couloir du train vers la porte. J'eu a peine le temps de déscendre que le train repartait. Je tenta de refermer la porte en marchant a coté du train mais celle-ci resta tres légèrement ouverte. Tant pis. Je supposais que le train n'avait fait qu'un arret technique.
Je me dissimulait dans l'ombre du batiement de service et observa le train s'éloigné dans la nuit.
Le silence submergea les lieux.

Aucun commentaire: