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2010/08/12

Linotte, Ilote ...

Elle l'avais regarder penché sur cet ouvrage a la couverture en cuire, ses main marqué par le temps, ses rides qui creusaient son visage de rigoles, ses cheveux parsemer de fil blanc, son dos, vouté comme si la lecture le rendait bossu. Mais elle savait bien qu'une fois debout il serait droit soulignant sa large stature. Elle l'avait regarder, visité la pièce des yeux, écouté le feux ronronner... Elle s'était demander ou elle irait en suite, si elle avait bienfait de partir. Elle connait le monde encore moins que ce qu'elle n'avait cru. elle n'avait pas pensé que son ignorance serait aussi handicapante dans sa fuite. Fuite, elle avait tourné et retourné ce mot dans se tête, elle avait l'impression d'être un écervelé. Une naïve héroïne de mauvais roman qui aspirait a devenir quelqu'un de magistral, de fort,... Mais elle le savait bien, la vie n'est qu'un pale reflet auquel des hommes déçu, tel que les écrivains, tente en vain de mettre des couleurs vives et de la lumière violente, du feu et du bruit. Son estomac était tordu, elle était partager entre la honte et la colère face a sa naïveté. mais au fond d'elle, elle n'arrivait pas a regretter son choix, elle sentait comme une petite flamme ronronner a nouveau au tréfonds de son âme cette lueur douce qui l'avait bercé toute son enfance et qui s'était éteinte avec sa mère. Cette lueur était soudainement réapparue quand elle s'était laisser emporter par le piano. Elle ne l'avait pas toute suite remarqué. Elle sentis la lueur diluer peu a peu sa colère, sa honte et ses craintes...

2010/03/01

Murmures

Le vent portait les murmures des villageois qui s'étaient animée d'une passion nouvelle a la rumeur de l'arrivée d'un chanteur d'âmes. Même si la majorité restaient très retenue face à ce genre de nouvelle on sentait qu'au fond d'eux tous espéraient voir ce rêve ce réalisé. Mais l'intéressée semblait s'être volatilisée, la belle inconnue aux doigts de fées s'était envolé sur les ailes d'un courant d'aire . Il avait entendu les notes douces portée par le vent, il avait été attirée par celles-ci mais s'était retenu. Il ne pouvait se permettre de déjà être repéré. Même si il avait conscience que cela finirait par arrivé, il voulait reculer au plus l'échéance pour pouvoir tenter de lui être un peu utile. Mais il n'était pas fait pour vivre sauvagement et loin de celui qui devait dicter sa vie, Il sentait peu peu la folie s'insinuer dans son esprit malgré tout ses efforts pour la rembarrer. Il risqua un nouveau un coup d'oeil vers l'extérieur mais ça vue était très restreinte, l'espionnage entre deux planches qui faisait le mur de la grange ne permettait pas une vue très détaillé. Deux femmes passaient, serré comme deux poules sur une branches et semant dans le vent des murmures de palpitation, d'inquiétude et d'espoir. Il compris alors que l'inconnue avait disparut près du cabinet de curiosités, et quand le propriétaire de celui-ci avait nié l'avoir vue entrée bien sur personne n'avait osé insister. Sa femme avait été elle aussi une de ces personnes qui ont réussit a garder le don, mais apparemment pour elle, l'histoire avait tournée court, et mal.Il n'en savait pas plus. Il avait déjà suffisamment de mal comme ça a comprendre ce qu'était ces gens. Là ou les cardinaux étaient lois ces personnes semblaient absentes, inexistantes. Il n'avait jamais passer les brumes ses missions se déroulaient toujours dans les citées du centre. En ces quelques mois passer ici son existence avait pris des dimensions nouvelles et effrayantes qu'il n'arrivait pas encore a gérer et intégrer tout a fait. Il se laissa porté par les mémoires qui flottait dans son esprit quelque temps puis fut sorti de ses pensées par une odeur effrayament familière portée par le vent. Il se tapis dans le coin le plus sombre de son abris de fortune, aux aguets.

La cloche de la librairie sonna a nouveau dans la pièce du bas. Elle se tendit parcourue d'un frisson tous les muscles tendus comme prête a bondir.Il la rassura d'un geste de la main l'invitant a rester assise et silencieuse, il descendit son pas lourd rythmant son avancée. Tendue jusqu'à s'en faire craquer les os elle tendit l'oriel aux moindre murmures, mais ne distingua pas les différent mots. Elle n'osait pas bouger de peur de faire un bruit et elle osait a peine respirer. Les minutes passèrent, interminable, puis la cloche du magasin retentit. Elle se détendit légèrement, puis, n'entendant pas les pas qui auraient du marquer le retour de l'homme elle sentit montée un nouvelle vague de panic. Elle attendit a nouveau silencieuse et au bord de la crise de nerfs durant un moment qui lui parut une éternité. Un nouveau retentissement de la clochette du rez de chaussé la fit sortir de sa torpeur et se rendre compte que la nuit avait eu le temps de tomber. Elle reconnu alors les pas lourds et rythmé de l'homme et se détendit un peu. La porte grinça une lumière furtive lui parvint du couloir et le temps sembla s'étirer. Puis, enfin, la silhouette de l'homme apparu dans la pièce. Il alluma différentes lampes dans la pièce sans mot dire, attrapa une couverture sur le haut d'une armoire croulante d'objets divers et lui lança. Il pointa un fauteuil toujours sans déserrer les lèvres et s'assit dos a elle munis d'un gros livre posé sur ses genoux sur lequel il se pencha silencieusement. Tout aussi silencieusement elle se laissa sombrer dans le fauteuil caché sous la couverture comme un soldat blessé derrière son bouclier...

2009/12/15

Librairie

une clochette retentis doucement son bruit bien vite absorbé par les piles de manuscrits qui encombraient le lieux. La lumière forte, typique a l'hiver perçait entre les tas de bouquins et les bibliothèque. L'air était traversé de part en part par ces rayons lumineux dans lesquels apparaissent comme de minuscules galaxies mouvantes une masse de particules de poussière. Je m'avançais silencieusement vers l'intérieur de ce labyrinthe littéraire émerveillé par ce que mes yeux me montrait et enivrée par l'odeur de vieux papiers. Mais mon ravissement ne pu durer plus longtemps, j'entendis la clochette de l'entrée retentir. Mon reflex aussi stupide soit il , fut de me laisser tomber assise au sol derrière un meule croulant sous le poids des bouquins. Je serrais la poignée de ma valise et fermais les yeux me concentrant sur les bruits de pas de deux personnes arpentant les lieux. "Mademoiselle", s'était la vois d'un homme, âgé sans doute, grave et impérieuse, mais elle ne semblait traduire aucune colère. "Mademoiselle, sortez de là voyons nous voulons juste vous parler". j'hésitais recroqueviller dans ma cachette précaire, après tout il n'y avait aucune raison de faire tout un plats pour quelques notes perdues sur un piano. Mais je ne voulais pas avoir a expliquer ma présence. Qu'importe, mes réflexions furent trop lentes et un voix grave et presque suave s'éleva juste a ma droite.
"Baltus!" Je sursautais retenant un cris d'étonnement de justesse et découvrant un homme d'une quarantaine d'années a la carrure impressionnante juste a coté de moi debout penché sur un énorme livre ouvert au somment d'un tas d'autre livres. Il était en partie dissimulé par l'ombre c'est peu être pour cela que je ne l'avait pas vu avant? Mais je n'eu pas le temps d'y réfléchir plus longtemps, déjà il reprenait la parole et pour la deuxième fois dans la journée j'attendais un réprimande sévère pour mon comportement déplacé mais les mots qu'il prononçât ne ressemblaient en rien a une réprimande. "Cesse de parler dans mon magasin, de plus tu sais très bien que les femmes n'y viennent jamais pour les raisons que tu connais alors vas-t-en! " Je levais les yeux ébahie dévisageant l'homme qui venait de parler. Le l'homme que je supposa s'appeler Baltus repris alors la parole. " Mais je crois l'avoir vue rentré ici, c'est important , je crois bien qu'elle a le don!" L'homme parut soudain intrigué et j'aurais juré voir ses yeux tomber sur moi un instant mais cela fut bien trop rapide. "Reprend ta recherche ailleurs Baltus, il n'y rien qui puisse t'intéresser ici." La voix de l'homme semblait lourde de souffrances retenues et ses traits semblaient tendu. J'entendis les pas des deux personne se diriger vers la porte et la clochette sonner à nouveau suivit de près d'un bruit de porte. l'homme soupira et sembla se replonger dans sa lecture, j'attendis un peu assise a même le sol avant de me relever pour vérifier que le magasin était bien vide. Je voulu remercier mon étrange sauveur, mais quand je me retournais il ne fut plus là. De sa présence ne restait que le lourd livre, ouvert...

2009/10/27

Chanteur d'âme

Durant ma prestation, trop absorbée par mes souvenirs, je n'avais pas remarqué que des gens s'étaient rassemblés. Ils affichaient des visages émus et même parfois une lueur d'admiration perçait. Je savais que les touches des pianos avaient toujours été les maitresses favorites de mes doigts, mais je n'aurais jamais pensé provoquer un tel émois chez des inconnus. Dans le cadres présent et si mon esprit n'avait été prit par les brumes du souvenir je me serais plutôt attendues à des vives réprimandes , critiques ou accusations de violation de domicile ou de vie privé. Je regardais la petite foule de gens que s'était rassemblé dans cette pièce poussiéreuse ébahie et dubitative. La gène grandissante finit par me submerger et soufflant un "excusez-moi" que j'eu peine à faire glisser dans ma gorge alors qu'il tentait de m'étrangler j'empoignais ma valise et tentais une fuite discrète vers la porte par laquelle j'étais entrée. Quelle belle utopie. A peine j'eu entamé un pas hors de l'estrade qu'un vieillard vêtu de manière très élégante m'arrêta. Il posa une question sur un sujet que je ne réussis pas à comprendre. Une histoire de chanteur d'armes ou quelque chose comme ça , mais trop gênée par la situation je me dérobais tant bien que mal aux regard et aux questions.
Arrivée dehors je fis quelques pas dans la rue espérant retrouver un endroit calme mais j'étais suivie par quelques persistants, je m'engouffrais alors dans ce qui semblait être une librairie dans l'espoir de les dissuader de tout discourts ou remontrances qu'ils seraient tentés de m'exposer...

2009/10/02

Le piano


Je restais seule dans ce décor spectral sans penser a rien durant un long moment, assez long pour que l'astre lunaire fut soudain voilé : l'heure grise naissait doucement. je pris soudain conscience du froid qui m'enlaçait violemment et me décidai a bouger. Mon esprit s'était laisser allez là ou ma conscience n'avait pu le suivre et le résultat en fit que mon être entier était frigorifier. J'avait du passer plus d'une heure a contempler la nuit et je me secouait pour stimuler un peu ma chaleur corporelle, une partie de moi reprenait peu à peu vie depuis mon départ salvateur, mais je restait toute même l'esprit fortement embrumé par un étrange néant. Me décidant enfin a me mettre en marche je fit le tour du bâtiment et me trouvais face a une sinueuse route de campagne, a peine visible sous la couche de neige. Je m'élançais sur la route et bientôt aperçu un clocher et quelque toits de maisons, les cheminées crachotaient des lambeaux de fumés , mais très peu, il était encore trop tôt pour que les gens soient lever et aient ravivé les feux. le temps que j'arrive dans le village qui devait en fait être une petite ville vu son étendue, les brulure matinal d'un timide soleil voilé de brume émergèrent lentement. Les cheminer mirent du coeur a l'ouvrage crachant de plus en plus de fumée.
Ne sachant trop que faire j'inspectais les lieux un peu perdue. Une enseigne attira mon regard, "la table musicale", le bâtiment semblait vieux et mal entretenu mais il s'agissait bien d'une auberge. Je montais les trois marche qui me séparait du porche et observait par la fenêtre, la salle que j'entrevu était sombre et poussiéreuse. Je me décidais néanmoins à entrer. Le porte grinça, toute la lumière disponible filtrait à travers les volets du mur opposé qui devait être exposé juste face au soleil levant. Les rayons lumineux qui perçais la pièce de parts en parts semblaient presque irréel de beauté. je contemplais le spectacle cherchant a reconnaitre quelque meuble et soudain sous un lourd rideau qui me sembla fait de velours pourpre , je cru reconnaitre une forme familière et qui pour la première fois depuis la mort de ma mère, me semblais réconfortante. Je m'avançais jusqu'à lui et mis a bas le rideau qui le couvrait , ce qui eu pour effet de soulever un lourd nuage de poussière. quand elle fut dissiper je vit que mes intuitions avaient été correctes. Un magnifique piano a queue noire trônait royalement . Je laissait courir mes doigts sur la surfaces de celui-ci, et me décidait a relever le clapet. les touches étaient du plus fin des Ivoire, j'enfonçais l'une d'entre elles, Le son éclata dans le silence, cristallin et parfait . Il fut miraculeux qu'un instrument a l'aire si oublié ne fut point totalement désaccordé. Ne me souciant plus de rien je posait mon sac et improvisait un tabouret avec un bidon vide qui trainait par là. Je caressais amoureusement chaque touche avant finalement de m'élancer dans une douce mélodie composer par mes soins du temps ou je jouais encore, du temps ou mon être ne fut anesthésié. La musique m'emmena au loin note après note, chaque accord me libéra un peu plus de mon engourdissement mentale . Je voyageais délicieusement dans mes souvenirs les plus doux, je ne sais combien de temps je jouai mais quand prise d'une soudaine mélancolie je m'arrêtait enfin le soleil ne filtrait plus des volet face à moi . Je soupirais doucement . un bruit me semblant assourdissant me fit sursauter follement , il me fallu quelque seconde pour en comprendre la provenance...

2009/06/28

Chemin-1

Les gouttent de pluie qui avaient avec violence attaqué les vitres dans les premieres heures de mon voyages, s'étaient peu à peu transphormées en grèle bien plus bruyante jusqu'a enfin se métamorphoser en boules cottoneuses si fines et si légères que plus aucuns autres sons que celui de la mécanique en action ne vint troubler mes pensées. La nuit était doucement tombé le paysage gris c'étais uniformiser sous une épaisse couche de neige, mais la chouche de nuage trop épaisse ne laissait pas filtrer les rayons de lune qui aurait éclairer d'une lueure fantomatique ces étendues blafarde qui enmenaient et perdaientt mon regard dans le vague. On ne pouvait deviner que la ligne d'horizon entre les flocons, de temps a autre un villages ou encore un cloché...
La direction que j'avais prise m'emmenait loins du cente industrialisé de cette contrée, dans les profondes campagnes réputées pour leur précarité et leur pauvreté avant de repartir vers une capitale étrangère. Il me serait plus aisé de paser inaperçue dans un lieux ou personne d'un statut plus haut que fonctionnaire ne voudrait mettre le pieds. Une peur tordait amoureusement mes entrailles plus le train s'enfonçait dans la nuit. Mon unique voisin de compartiment me sortit de mes pensées une fois de plus par un des ses tresseauts bruyant de son ronflement. Je n'avais pas sommeil, mais il était claire que même ayant sommeil il me serait extrêmement hardu de m'endormir a coté de cet homme. Je replongeait mes yeux dans le paysage, la neige tombait plus fine et plus eparse. "Bientot..." murmurais-je " Bientot elle cessera de tombé et l'astre lunaire entammera sa danse silencieuse sur les plaines eneigé." Ce n'était pas de moi, je citais, j'avais pris durant mes études une spétialisation en littérature poétique. Ces phrases chantante s'insinuait en moi dés que je laissais mon esprit courir, je les aceuillaient toujours avec délectation. Les personnes qui avaient écrits ces doux assemblage de mots avait vecus des choses si forte et si rude , d'apres mes livre d'histoire. La grande majorités d'entres elles étaient mortes tragiquement, mais elles ne semblaient jamais oublié la douceur que la vie peu prendre en toute simplicitée. Je me laiçais bercé par le ballotement du train combatant méthodiquement la peur quand elle refesaient surfaces suite a mes sombres réflections. La libérté était effrayante, personne sur qui compter et le devoir de prendre ses responsabilitées. Serais-je capable de me suffire a moi même et de me faire vivre? chaqunes de ces questions egoissantes fut repousser fermemant, les choses viendraient, je les laisseraient venir, je profiterais de chaque bouffées de vie, qu'elles soient tienté de peur, d'angoisse ou de joie. Vivre c'est prendre les choses comme elles viennent et la accomoder a notre convenance. Je somrais.
Une accoup me sortis de mon mis someil, la nuit devait être bien avancé. A travers la fenêtre, la couche nuageuse s'était presque totalement disprsé ne laissant que quelques minces lembeaux blanc tacher le ciel. La lune irradiait a travers la neige dans laquelle elle se reflètait, elle était presque pleine. Le train s'aretta dans une toute petite gare avec un seul et miniscule quai flanqué d'un petit batiment de service je supposa. Le quais était si petit que seuls deux wagons pouvaient y faire débarquement à la fois et le hazard fut que mon wagon fut placé a hauteur du quais. Je ne cru pas au hazard en fait. J'empoignait mes effets, refermant mon menteau autour de moi et marchais dans le couloir du train vers la porte. J'eu a peine le temps de déscendre que le train repartait. Je tenta de refermer la porte en marchant a coté du train mais celle-ci resta tres légèrement ouverte. Tant pis. Je supposais que le train n'avait fait qu'un arret technique.
Je me dissimulait dans l'ombre du batiement de service et observa le train s'éloigné dans la nuit.
Le silence submergea les lieux.

2009/05/17

départ-II

Le ciel était dégagé, il faisait froid et un vent léger me caressa la joue, j'avais oublié comme il était doux de sentir le vent sur sa peau, les cheveux ballotés doucement et le ciel infiniment ouvert vers ailleurs. Je me dirigeais vers les rue fréquentés.

Tentant de paraître naturelle avec ma valisette à la main je me dirigeait d’un pas lent vers l’arrêt de tramway. Ils étaient trois, ils me suivirent comme d’habitude. Il ne soupçonnaient rien, pour l’instant… Je montais sur un tramway en marche, seuls deux d’entre eux réussirent à suivre sans pour autant prendre mon geste comme un signe inquiétant.

Mais je ne pouvais décemment pas me rendre à la gare aussi impunément et espérer passer inaperçue. Je me rendais donc à la fac qui se trouvait à deux rue de la gare. Arrivé je marchait d’un pas lents au hasard aux milieux des couloirs, car contrairement à ce que j’avais espéré ils passèrent l’entré très facilement après avoir glisser trois mots au gardien. Au milieu de ses couloirs remplis de jeune femmes ils paraissaient extrêmement mal placés mais ne semblaient pas s’en formaliser. Je rentrais dans la bibliothèque ils s’assirent sur un bureau juste a coté de l’entrée et commencèrent une ridicule mascarade de gens qui lisent . La chance me souriait peut-être enfin. Mon visage devait à présent affiché une crispation intense mon cœur battait la chamade et ma respiration se faisait haletante. Je me précipitais dans un des coin les moins visités de la bibliothèque, la partie orientaliste et me faufilais entre les rayonnages. La tentant de reprendre le contrôle de mon souffle je me débarrassait de mon jupon et de mon manteau.

Sortait ma petite dague, qui eu cru que cette objet décoratif mais au tranchant implacable me servirait un jour, Et je coupais à grand regret la moitié de ma chevelure flamboyante trop reconnaissable. Je dissimulais le reste sous un béret gris sombre et retirais de ma valisette le sac dans lequel se trouvaient mes effets . Cela devrait suffire je ne pouvais rien faire de plus pour le moment. Je reprenais la direction de la sortie en prenant le temps de dissimuler les trace de mon passage entre un mur et une bibliothèque.

Il était grand temps de prendre la poudre d’escampette mais j’étais assez nerveuse pour mettre la puce a l’oreille d’un aveugle, mon renouement avec la vie extérieur avait été trop rapide et par là un peu trop violent. Je me permettais donc quelques instants de répit assise a une table faisant semblant de lire un énorme ouvrage d’enluminure, doucement mes muscles se détendirent et je reprenais un respiration calme et contrôlée. Je devais a tout prix réussir et c'était surement la meilleur chance qui me serait donné. Je me levais ajustais mon sac en bandoulière pour qu’il pende correctement sur ma taille, ramassais un tas de papier qui avait été abandonné la par une étudiante ainsi que le bouquin que j’avais feins de lire et marchais sur la porte d’un pas aussi nonchalant que possible, je croisais l’un des hommes sur mon chemin qui ne m’accorda pas un regard, il avait l’aire préoccupé.

Je passait devant le deuxième qui ne fut pas plus attention à moi ,ses yeux braqué sur les rayonnages à la recherche de quelque chose… Quand je fut au bout du petit couloir qui menait à l’antichambre de la bibliothèque j’entendis une voix d’homme questionner une étudiante pour savoir si il y avait une autre sortie. L’étudiante répondit par la négative. A par si les fenêtres pouvaient être considérer comme une sortie il n’y avait qu’une porte.

Je laissais derrière moi mes craintes et le manteau d’ombre et de plomb qui m’avait atterrée ces dernier mois. Dehors le ciel s'était couvert et il pleuvait à grosses gouttes. J'accueilli avec délice cette eau glacé sur mon front chaque goutte me faisait l’effet d’une montée d’adrénaline, je revivais .

Qu’importe si je laissais toutes mes sécurités, qu’importe si j’étais seule au monde qu’importe si l’être que je savais être mon autre s’était débattus ardemment pour que je l’oublie, j’avais le monde entier à mes pied, la liberté et de vaste horizons qui seraient sûrement plus claire.

Je n’étais plus le pantin de quiconque.

Je me dirigeais le sourire aux lèvre vers mon prochain départ, et le son d’un locomotive en partance accompagna mes pensées.


2009/04/30

Victor...


Nouveau chapitre:
Il ne pleut pas, il fait nuit, les nuage voilent les étoiles.
Quelqu'un pleur surement quelque part, quelqu'un rit surement aussi.
Il y a tant de chemin qui ne mène nul part, qui nous emmène et nous égare.
Tant de silence incontrôlé, de murmures trop violemment crachés.
Des Maladresse, des sans adresse, des regards perdu, des sentiments brulés.
Il susurre un vent de dégoût sur une mer d'immondice.
Vomitive assemblé qui déferle en marées.
Je ne suis pas satisfaite.

2008/12/24

départ.

Je suis l'absente, la pénitente
Je danse tel un pantin
à la cadence de vos cils.
Prisonnière de vos lèvres,
Je danse sur vos mots.
Une souffrance opaline
teinte sous vos faux pas
Sifflement suraigu qui fausse le masque
que vous portez pour moi.

Je fus tantôt naïve, tantôt ingénue
Mais je ne suis plus dupe
de tous vos stratagèmes.
Bien enamourée de vos fariboles
Je briserais ma prison de verre
Je consumerais

Jusqu'à extinction les sentiments
que votre joli minois éveille en moi

Je ne serais plus votre oiseau chanteur.

Très cher flatteur,

l'amante se fait absente et ce dès cette heure.


je refermais l'ouvrage bouleversée. Étais-je entretins d'abandonner? J'avais anesthésier la douleur et les craintes sachant que le seul moyen d'accéder a une vrais libération étais d'arriver jusqu'au jour des "retrouvailles" de lui ou de son cadavre qu'importe j'avais déjà perdu toute mon humanité mes sens étaient tellement mutilé qu'ils n'avaient plus aucun ascendants sur ce qui me restait de sentiments. Le seul encore présent imposant implacable étais ce manque lancinant, la crise de manque étais si longue qu'on pouvait la dire permanente. Mais je ne resterais plus assise a attendre que les solutions tombent du ciel, je devais cesser de mes conforter dans ce comportement de victime impuissante laissant son destin filer au grès des décisions des autres! A la fenêtre je repérais les trois hommes en faction ça allait être compliqué mais j'y arriverais. Je ne devait pas m'encombrer optant pour un sac de taille moyen j'y fourrais mais précieux trésors, quelques vêtements et tout le liquide que j'avais négligemment mis dans ce même pot depuis mon retour chaque semaine mon "tuteur" mes fournissait des fonds, chaque mois je les mettais au même endroit et je me retrouvais donc avec une sacrée petite somme de cotée sans le vouloir j'avais préparé le financement de mon évasion. Je me préparais a sortir passant dans le vestibule je fut horrifier par mon étourderie en voyant mon reflet dans le miroir. Impossible de passée inaperçue dans cette robe d'un rouge sanguin. Je m'assaillais quelque instant, il faillait que je réfléchisse calmement je n'avais droit qu'as une chance. J'attendrais l'heure grise du crépuscule il me serait plus facile de me dissimuler. J'enfilais mon manteau rouge par dessus une tenue grise et noir mon plan était faiblard, je savais qu'il s'agissait de professionnels mais je comptais bien y arriver de plus ils ne seraient sans doute pas sur leurs gardes je n'avais jamais tentée de faire le mur ou de disparaître... Le soleil atteint enfin le toit de la maison d'en face, j'aspirais un grand coup et ouvrais la porte.

2008/11/30

Comme dans un livre dirait le reste du monde pourquoi ça n'arrive qu'a ceux qui ne veulent que la tranquillité? J'avais bien finis par devoir me faire un raison je n'avais rien, ne savais rien aucune indication sur ou allez ou que faire pour comprendre. J'étais seule dans cette espèce de petit monde comme une bulle de verre prisonnière de l'ignorance que l'on m'imposais. J'aurais pu devenir folle a force de ne trouver aucune trace de ce que je savais être la réalité mais ça leurs aurait trop facilitée la tâche. J'avais préféré m'endormir les sens et vivre insipidement. Le seul maigre espoir qui persistait était une sorte de présentiment, un instinct que bientôt les chose chargerais, évoluais. Cette situation étais resté trop longtemps au même point et tout ce qui n'évolue pas disparait. Elle allait donc suivre le même chemins que toutes ces chose immobile, morte. La seule chose qui me rendait encore folle étais celle de savoir quand.
Mais en moi les choses avaient déjà changées, j'avais soigneusement remis a plats chaque évènements, m'étais renseigné a grande peine sur mon tuteur, ses ennemis et puis sur ceux que nous appelons communement les sans visages c'est cinque êtres qui agissent dans l'ombre et tire les ficelle du monde au dépend de tous les organisme qu'on a pu tenter d'établire pour donnée un semblant d'égalitée a ce monde dans lequel on survit plus que l'on ne vit.
Le noms des sans visage pour ceux qui en savent plus est "les cardineaux" J'igore encore aujourd'huis ce que cela représent vraiment au fond. Mais j'en reviens a ce jour de soleil ce 7 novembre étrange ou il faisait presque doux pour la premiere fois depuis si longtemps me semblait 'il...

2008/11/21

confessions

De petites lampes rouges placés a même le sol grandissaient les ombres dans ce vieux grenier poussiéreux. Le silence y régnait en roi, a travers la lucarne ou une couche de poussière obstruait totalement la vue sauf la où le verre avait été brisé on pouvait apercevoir la lente et inexorable chute des flocons . Une fois encore l'hiver était revenu. Une fois encore la forêt s'était entièrement dévêtue en sentant l'approche de son amant. Le Froid glacial avait tout figé et il était resté là.
Il n'avait pas voulu quitté les lieux. Il se sentait si misérablement lâche, une créature qui ne pouvait même pas se venter d'être munis d'une essence propre. Il se savait pourchassé et traqué, ce qu'il avait fait était grave, très grave, il s'était retourné sur la main qui était a l'origine de sa création .
Il se souvint, avant qu'il ne soit prêt a accomplir ce pourquoi on l'avait fait, quand il était encore en apprentissage, un jour une des cardinaux lui avait expliquer par une métaphore ce que représentait et impliquait la trahison envers eux, Il lui avait lu "la création" dans la Bible, et lui avait dit que trahir son créateur cela revenait a trahir son dieu, son univers, son corps, tous ce qui lui permettait de vivre. Que cela entrainerait la destruction total de se qui le rattachait a sa misérable petite vie terrestre. Il avait alors cité un autre extrait: J’abattrai le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant !
On l'avait crée pour comprendre être exceptionnellement efficaces et intelligent, il ne lui avait pas été difficile de percevoir les sous entendus que portait ce message. Et Pourtant il avait fait exactement ce qu'il s'était jurer de ne jamais faire au dénis de tous bon sens, il avait ruiné toute sa presque existence pour le fruit d'une mission qui lui faisait ressentir des choses étranges.
Faire battre un organe dont il n'avait jamais remarqué l'existence avant, son cœur. Son cerveaux qui avait toujours fonctionné a merveille, se brouillait et disfonctionnait régulièrement, des idées non commandées venaient brouiller sa vue, Elle apparaissait dans chaque ombres chaque silhouettes, sa voix tintait en tous lieux et venait même rompre la quiétude de ses nuit. Lui qui ne connaissait pas le rêve s'était mis a rêver. Il avait rêver d'elle six mois durant six mois ou il n'osait plus dormir de peur de la voir encore! Six mois ou chaque jours il repartait attendre sur se banc. Le regard qu'elle lui avait lancé ce soir là le hantait, il n'avait pas su a l'époque que ça serait Elle, et quand il avait vu sa photo dans l'ordre de mission une fois encore son cœur s'était manifesté il aurait été la chercher directement pour en finir mais comme si le hasard ne s'acharnait pas déjà assez a lui faire perdre la raison,on lui avait interdit d'approcher sa maison. Il avait tenté de la suivre mais cette fille avait une armée d'homme qui la suivait partout et cette écervelée ne voyait rien. Alors il avait remis tous ses espoirs sur le message qu'il lui avait laissé dans un moment de folie ce premier soir ou il l'avait vue. Dés lors comment aurait il pu cesser d'y penser alors que chaque jour dés l'aube et jusqu'au crépuscule il allait l'attendre dissimulé alentour du fameux banc.
Le temps étais passé et pour ne plus y penser il avait lu beaucoup durant ces longues heures d'attentes , cela n'avait absolument pas fonctionné mais au moins ça lui avait permis de ne pas courir jusqu'à elle. Il avait tenté de se convaincre qu'il était victime d'une anomalie et que cela passerait avec le temps. Et puis, quand il avait finis par espérer qu'elle ne viendrait pas, qu'elle ne l'approcherait pas, qu'il n'aurait jamais à achever cette mission , quand il s'était mis a nourrir l'espoir fou que lui aussi, aussi inhumain soit il, goutait du bouts des doigts a ce que les livre appel l'amour et ce même si dans son histoire a lui il finissait seul, Elle vint au rendez-vous...

2008/11/04

souffrance

l'absence est malgré son vide de sens la chose la plus douloureuse qui m'ai été de vivre.
Ce qui n'est pas là ne peu pas faire de mal certes mais le manque d'une chose peu faire souffrir
atrocement.


Vous ne le savez sans doute pas. Ou peut-être justement le savez vous trop bien ce qui expliquerais bien des choses qui donnerait un sens nouveau a bien des équations. Mais les équations restent en suspend, toujours aussi insoluble a mes yeux. J'ai l'impression de me répéter sans cesse, mais je suis fatiguée, exténué de tout ça. De ces fuites ces absence ces semblant ce non dit, et c'est sur dit, Oui surtout eux. Je meurt de rage de dégoût de haine, d'exécration face a ces sur dit. Ces mots répétés sans cesse battants mes tympans jusqu'à les faire exploser . Mon cerveaux qui fais pression sur ma boîte crânienne les os qui craque peu a peu et une folie dépressive qui n'emporte. Ne reviendras tu donc jamais? Les seringues et diagnostique de pro pourront défiler autant qu'il le faudra rien de me convaincra de ton inexistence toutes ces choses ne feront que venir souligner ton absence. La présence imposante, ta présence, la seule dont je puisse me languir de la sorte. ils pourront m'attacher me brûler vive m'enfermer me droguer, employer leurs machines a foison pour me faire oublié. Rien tu vois? Rien ne m'arrachera ces piteux souvenir, une sensation une odeur un souffle glacé sur ma nuque. Dissimule toi tant que tu le voudra, un jour viendra ou je te retrouverais même si je doit allez en enfer pour ça!


RÉPONDS MOI!

2008/10/23

pourquoi?


Le givre couvrent le sol implacablement. L'hiver a prit place, je t'attend toujours.
Je suis seule depuis ci longtemps ton souvenir m'est si fuguasses. je voudrais te serrer dans mes bras mes seul les traces de on image me serrent le cœur a en mourir. Je me souviens de la fermeté de ta main quand tu m'as éloigné de toi, je me souviens du parfum de tes craintes. Je voulais te bercer sur mon cœur mes tu m'as évincé. aujourd'hui je me languis de rien qu'une preuve de toi.
Je voudrais juste t'effleurer du bouts des doigts te sentir sur mon cœur. prisonnière de tes yeux.
Comme e dernier soir, j'étais toute a toi incapable d'un mouvement les sens ensevelis pas l'arôme de tes lèvres. Tu m'as laissé t'embrasser cela veut bien dire que tu ne me hais pas. alor pourquoi me faire croir que tous cela ne fut qu'illusions? que regrette tu au point de vouloir m'effacer ,et t'effacer des cette réalitée qui est la mienne?

[a suivre.]

2008/09/23

Reviens moi

Octobre reviens, et avec lui les souvenirs, les murmures la grisaille et le vent?
plus que quelque jours . La date approche. Je n'ai rien compris et quand bien même je suis folle je tiens a cette histoire que je me suis inventé, ou peut-être pas. Les moyens m'échappes les raisons aussi, mais je sais que je ne peux pas avoir tout a fait tort. Sinon pourquoi depuis mon réveille est il la? Ce tuteur inconnu. et pourquoi y'a t'il toujours cette armée d'hommes en noire qui me suivent.
Paranoïaque ébranlée par ma sois disant maladie et par cet enlèvement. Pour une forte rançon sois disant... Prenez moi pour une conne, tant que ce sera le cas je mènerais ma danse. jouons le jeux si ça me permet d'être un peu libre. Mais au fond de moi je sais que je ne suis pas folle. Je n'ai rêvé ni ces laboratoires souterrain, ni cet homme inhumain, cet créature servile et enchanteresse qui ma enchainée d'un regard. Je n'ai pas rêvé ces trois homme spirituel qui flottaient tel des fantôme autour de chambres stérilisée de testes. Je n'ai pas rêvé les testes, les seringues, les hurlement , l'aquarium. Et Je me refuse d'avoir rêvé cette fuite salvatrice dans tes bars pâle. Je refuse de croire que tes mots était fictifs. Je ne sais pas ce que tu m'as fais pour que ces souvenirs sois si floues et presque inexistant, mais je refuse d'oublier!
Je me souviens de ta détresse, et de cette larmes unique qui a glissé jusqu'au creux de tes lèvres ou je l'aie cueillie. était-ce la mon erreur? tu m'as éloigné de toi car j'ai succombé a ma faiblesse?

je t'en prie...



Reviens moi.




2008/08/21


J'aurais tant de choses a te dire mais les mots ne sorte pas je te tiens contre moi mais je sais que tu m'échappe déjà.
Quelque soit le chemin que tu empreinte tu me laissera derrière toi et tu aura bien raison. J'ai été monstrueux, j'ai été ta souffrance et tous mes regrets n'y changeront rien, mais j'aimerais tellement que tu ouvre les yeux et que tu repose sur moi le même regard que ce soir là, a coté de ce banc. Tes yeux étincelants dans lesquels je lisait tant de choses. Choses qui m'ont effrayé. après tous je ne suis pas comme toi je ne suis qu'une poupée sans âme qui aspire aux feu de la tienne.
Mais je ne te ferais que souffrir, je ne veux pas te retenir juste te libérer de la cage dans laquelle je t'aie mise si longtemps...

2008/08/15

fine pluie


...Les douleurs qui n'avaient eu de cesse de bercer mon âme jusqu'alors semblait endormies, anesthésiés, envolées. Semblait c'est le bon mot car elle semblaient continuer a battre au loin
sur un rythme étrange. J'étais glacée, enlacée par le froid bien que celui-ci me sembla irrégulier.
Je savais ma conscience retrouvée que la douleur referait surface. Je me laissai donc flotter à la limite du néant me concentrant sur mes sensation interne. Le battement de mes douleurs était distinct de celui de mon sang dans mes tempes, et un troisième battement beaucoup plus
rapide et irrégulier venait sans cesse interrompre l'équilibre que je tentais en vain de créer. L'inconscience s'échappait peu à peu les sensations se précisait, je senti d'abord les douleurs revenir au galops suivies de prés par ce froid irrégulier et un pression désagréable sur les côtes et les cotés. Doucement je tentais d'entendre, le troisième rythme qui m'avait sortie de ma confortable inconscience n'était autre que celui d'une pluie fine mais battante dont les goûtes venaient apaiser doucement mes souffrance.
Le chant de la pluie, plus magnifique que jamais me perçait doucement rythmé par les bruit de pas qui plus fort semblait marquer la cadence. Des bruits de pas? c'est Alors que j'identifiais enfin les pressions sur mes côtes, on devait me porter, ouvrir mes yeux n'aurait servit a rien , ma cécité ne disparaitrait pas en a claquement de doigts. Les mouvement m'étaient une torture insurmontable, pas question de chercher a tâtons des indice sur la personne qui me portait.
Et soudain mon dernier sens se réveilla, mes narines se rappelèrent soudain leurs utilité et une odeur entêtante emplit mes poumons un odeur que je connaissait , elle me faisait tourner la tête, s'était lui...

2008/02/13

Claire de lune

Le temps est un notion capricieuse qui s'enfuit change de forme insaisissables il se tortille et nous échappe et quand le temps se perds la lumière le suit.



La lumière a quitté mes yeux au fond de ce sombre cachot, quand bien même j'eus marquer d'une croix chacun de mes réveilles, ou que je me sois obstiné a décompter chacune de mes escapades somnambules dans ces étranges pièces ce malgré la camisole chimique qui me plongeais dans un abime brumeux, le temps me filait entre les doigts. Ils prenaient un soin particulier a m'aider à en perdre toute notions. J'aurais été incapable de dire combien de temps s'était écouler depuis qu'Il m'avait emmené ici un mois? un ans? ma tête avait été rasé et en palpant doucement mes bras et mon dos je sentais chaque trace, de chaque seringues, les brulure des diodes, les cicatrice laisser pas le scalpel su le haut du crane et l'absence de souvenir qui me déchirait le crane... Que s'était il passé? Que me voulait-on et toujours cette même question... Pourquoi moi? Pourquoi Lui?... Je ne voyais plus rien,je ne voulais plus voir mais j'entendais bien et une lucidité inhabituelle m'avait prise, avaient ils oublier d'y mettre la dose?
je m'essayais sur la couchette trop dur qui me servait de lit, m'enrobais dans mes bras et tendait mon âme entière a mes sensations retrouvées,je sentais l'aire dans mes poumons la chaleur étouffante de la pièce, la chemise en ce tissu plastique qui m'irritait la peau, pas un souffle d'aire sur ma peau, et ma gorge sèche et douloureuse. Je m'essayait alors tous doucement a faire fonctionner mes corde vocale, une petit sifflement rauque quitta ma gorge m'arrachant des larmes de douleurs. Je tentais de me calmer , reprenant doucement mon souffle. Un bruit de métal résonna, un cliquetis dans la serrure je m'allongeais le plus naturellement possible .
La porte grinça, j'entendis une souffle étrangement lent, je me sentis épiée et soudain mon corps quitta la banquette maintenue contre un torse par des bras chauds et ferme, l'étonnement me fit émettre un autre croassement douloureux que la personne qui m'emmenait ne sembla pas remarquer, je suivit plus ou moins l'avancement l'atmosphère devint de plus en plus froid et bientôt je senti un vent implacable fouetter mes plaies et une plus glacé me transpercer la peau.
Je me senti soudain très lasse et sombrai dans l'inconscience la plus totale...

2007/12/15

Enygmes

tel un fouet qui claque ... Tes mots me trancepersserent de part en part... tu étais donc venu ici chaque soir depuis plus de Six mois? Mon esprit enflamer se débattait impétueusement pour comprendre. Dans le mélange défait de mes rêves, espoirs et de la réalitée une petite voix se mis a hurler. Pourquoi? pourquoi un inconnu attendrait il une femme qu'il n'a entrevue qu'une fois.
Apres si longtemps et malgrer ton les hurlement désepérer de mes instinc j'étais venue, malgrée les évenement qui l'avait amener a me laisser ce mesage, malgré ce noeud si serrer dans mon estomac que le gout brulant de la bile m'éfleurait les lèvres... Qu'elle idiote créature étais-je devenue, moi, l'oseau rare impétueu et sauvage je me retrouvais enchainer au fond d'une cage sans même comprendre comment cela avait il put arriver...

Vous revoir...

Le vent s'était déchainer cette nuit là fidele au post il était revenu malgrée tous le temps qui s'était écouler il craignait toujours de la voir apparaître sur se banc un soir, il le craignait autant qu'il l'espérait... Revoir sa silouhete danser dans l'ombre revoir la flamme de ses yeux se déchainer, et ses fossettes se déssiner. Pourquoi eut il fallut que ça soit elle, elle l'unique elle l'hérrance... Le contrat était signé, il ne pouvait faire marche arrière il aurait aimé ne jamais naitre depuis qu'il savait ce qu'il devrait faire de cette vie... Mais se soir là tous paraissait encore plus sombre et triste, elle étais là, avant même qu'elle n'ai fait mouvoir sa délicate silouette, l'odeur de sa peau étais venu le troubler. Aussi violement que les rafale de vents qui se déchainaient autour d'eux. A peine avait il réussita reprendre ses esprits, se libérant de l'étreinte de l'arôme, elle le regardait, il voulu avancer mais ne pu s'y résoudre mais a peine l'iddé de fuire l'avait il éfleurer qu'il sentis le lourd poids de ses "mots" s'enrouler autour de sa gorge comme pour l'étouffer. Enfin il s'avancea fixant le sol, tel un codamné qui fait son dernier trajet, il prit place sur le banc a ses cotés, inspira profondément afin de calmer les palpitation de son ame, Il devait etre ferme! -"tu es venue"?
Il encra ses pupilles au plus profond des yeux de la jeune fille trancperçant son ame il opera lentement, il pu lire la détresse la crainte et la rage, et enfin, elle s'éfondra.

2007/12/13

vent, et plumes

Zéphyr s'était déchaîné, le banc tenait bon enraciné dans le sol. Les arbre fouettaient le sol de leurs branchages charnus, plus une seules feuilles sur leurs long bras décharner , nus et blanchis par le gèle telle de long doigt prédateurs en quête d'un festin de chaire. Plus de trois mois écoulés mais j'étais là, assise sur ce bancs, plus de trois mois en retard et pourtant, la maigre flamme de mon espoir fou perdurais a travers la fureur du dieu aérien. La nuit étais d'encre la lune absente dans un autre ciel sans doute dansant l'amour avec son amant interdit l'astre du jour. Et moi, Moi j'étais seule assise sur se banc au milieu de ses mains griffues qui prenaient vie sous les rafles tentant de me dévêtir de mon orgueil et de ma bêtise autant que de mon manteaux. Assise sur le banc contemplant en silence les reflet irréel du givre sur le sol, des flaque gelées qui telle des phare parsemaient la nuit de clartés timides. Les lèvres gelées et serrer pour retenir le claquement de mes dents , les cheveux en furie fouettant violemment chaque centimètre de ma peau , les yeux plein de larmes qui gelaient sur mes joues. Le temps paraissant s'être arrête tant mon esprit courrait a travers multiple fantasmes qui m'avais animée depuis que ton message avait été déchiffré. Le vacarme de la tempête était tel qu'aucun autres son que le rugissement du vent ne me parvenait , et pourtant, quand une ombre pris place sur la clarté blafarde d'une étendue de glace, plus aucuns son ne sembla m'atteindre même mon cœur sembla soudain absent. seules mes jambes tremblaient si fort que malgré mon esprit qui me hurlait de m'échapper je restai sur place silencieuse et pétrifiée. Tel un prédateur tu marcha jusqu'à moi ne semblant pas le moins du monde dérangé par le vent et vint t'asseoir a mes cotés sur le banc aussi loin que possible de moi. Mes yeux te dévoraient avidement et mon esprit se dérobait a tous contrôle, Tu étais là? je devais rêver, devenu un légende tu habitait un monde fantasque que j'avais soigneusement refoulé dans mon esprit, le barrage avait céder et cette univers déferlait en moi flot impétueux de craintes et de désires. Je parcourais avidement ta silhouette de crainte que tu ne disparaisse je me haïssais d'être si avide de toi et pourtant je ne me lassait pas de me rassasier de ton arôme et de ta vue . Le vent s'est arrête, et tu a lever les yeux...
"tu a fini par venir."

2007/10/22

Absence

Sur le moment le sens de ce qui se déroulait m'as tous simplement échappé, je ne voyais que le fin papier déchiré très nettement et puis se bruit ce crissement atroce et aigu qui me percerait les tympans...Un cris? Oui il s'agissait bien d'un cris ne pouvant me résoudre a abandonnée l’énigme du message codée je glissait les deux morceau dans l'ample poche de mon peignoirs que je resserrais autour de moi avant de me diriger a grand pas vers la cuisine, d’où semblais provenir cette abominable cris aigu, mais celui-ci s’arrêta nette bien avant que je n'aie atteins le couloir, quand je passai enfin la porte, je cherchais du regard le cadavre, le meurtrier , l'horrible chose qui avait provoquer ou produit se cris, mais rien de tell, Emmanuelle ma colocataire, était évanouie a meme le sol, je ne m'inquiétais que brièvement son opulente poitrine soulignais chaque mouvement de ses poumons, elle étais sauve, pas de commotion visible, ni de sang. Juste une jeune femme allongé sur le carrelage en damier de la cuisine le visage encadré de ses habituelle boucle folles d'un noir de jais. je m’abaissait et portai ma main a ses joues, brulantes avant de tapoter doucement c'est dernières pour tentée de la réveiller... Qu'est ce qui avait bien pu provoqué ce cris atroce qui me semblais n'avoir jamais existé tans il avait été bref, brièveté qui ne m’apparus que maintenant, tout cela s’était passé si vite. Déjà elle revenait a elle je l'aidais a s'assoir sur le carrelage la questionnant du regard, tout en me battant avec moi même pour garder mon esprit en bride, non "Il" n'étais pas revenu.... enfin elle parlait: "he bien? que ce passe t il que fais tu en peignoir dans la cuisine a une heure pareille?"
Je faillit tomber a la renverse , elle étais couché au millieu du carlage apres avoir hurlé a la mort et elle me demandait ce que je faisait là?! Elle se releva :"c'est toi qui a fait tomber la bouteille de lait? je te connaissais moin maladroite" Elle faisait comme si de rien était, je la détaillait, inquiéte. " Emanuelle? que t'es il arrivée? tu a hurlé et quand je suis arrivé tu étais allongé par terre, ça tu dois bien t'en souvenir? " Elle me regarde soudain surprise, comme si elle venais de réalisé qu'en effet elle s'étais trouvé au sol un instant plus tot mais qu'elle n'arrivais pas a y croire.
"Au sol? "Elle semblais presque inquiète a présent, et regarda autour d'elle curieuse et suspicieuse a la fois. " Comment me serais-je retrouvée au sol, ce n'est pas possible... Mais il est vrais que je viens juste de me relever..."L'inquiétude qui envhaissait son visage m'interppella bien plus que son incrédulitée.
"tu ne te souviens pas? Pourquoi as-tu criée?" elle tournais la tete vers la fenêtre l'aire méditatif et perplexe, et c'est la que je remarquai pour la premiere fois l'empriente écarlte sur sa nuque.
Mon esprit recommenceai a divaguer mais sur des terrain bien plus glissant que l'hypothese d'un voelure cette fois...Je me retirai en silence, respectant celui de mon amie...
Aujourd'huis encore je me souvien de ses traits tendu et inquiet, nous n'avons jamais reparlé de cette incident par la suite, d'abbord par crainte, ensuite car il était trop tard, elle disparut a son tour de ma vie quelque semaines apres l'incident, je ne l'aie jamais revue. A l'époque j'en avait beaucoup douté, bien que me persuadant que je devenais folle, Mais aujourd'hui j'en ai la certitude, ce n'est pas lui qui était venu la rechercher, il n'as jamais voulu m'en dire plus, mais qui alors?