2010/08/12
Linotte, Ilote ...
2010/03/01
Murmures
2009/12/15
Librairie
2009/10/27
Chanteur d'âme
2009/10/02
Le piano

Je restais seule dans ce décor spectral sans penser a rien durant un long moment, assez long pour que l'astre lunaire fut soudain voilé : l'heure grise naissait doucement. je pris soudain conscience du froid qui m'enlaçait violemment et me décidai a bouger. Mon esprit s'était laisser allez là ou ma conscience n'avait pu le suivre et le résultat en fit que mon être entier était frigorifier. J'avait du passer plus d'une heure a contempler la nuit et je me secouait pour stimuler un peu ma chaleur corporelle, une partie de moi reprenait peu à peu vie depuis mon départ salvateur, mais je restait toute même l'esprit fortement embrumé par un étrange néant. Me décidant enfin a me mettre en marche je fit le tour du bâtiment et me trouvais face a une sinueuse route de campagne, a peine visible sous la couche de neige. Je m'élançais sur la route et bientôt aperçu un clocher et quelque toits de maisons, les cheminées crachotaient des lambeaux de fumés , mais très peu, il était encore trop tôt pour que les gens soient lever et aient ravivé les feux. le temps que j'arrive dans le village qui devait en fait être une petite ville vu son étendue, les brulure matinal d'un timide soleil voilé de brume émergèrent lentement. Les cheminer mirent du coeur a l'ouvrage crachant de plus en plus de fumée.
2009/06/28
Chemin-1
2009/05/17
départ-II
Tentant de paraître naturelle avec ma valisette à la main je me dirigeait d’un pas lent vers l’arrêt de tramway. Ils étaient trois, ils me suivirent comme d’habitude. Il ne soupçonnaient rien, pour l’instant… Je montais sur un tramway en marche, seuls deux d’entre eux réussirent à suivre sans pour autant prendre mon geste comme un signe inquiétant.
Mais je ne pouvais décemment pas me rendre à la gare aussi impunément et espérer passer inaperçue. Je me rendais donc à la fac qui se trouvait à deux rue de la gare. Arrivé je marchait d’un pas lents au hasard aux milieux des couloirs, car contrairement à ce que j’avais espéré ils passèrent l’entré très facilement après avoir glisser trois mots au gardien. Au milieu de ses couloirs remplis de jeune femmes ils paraissaient extrêmement mal placés mais ne semblaient pas s’en formaliser. Je rentrais dans la bibliothèque ils s’assirent sur un bureau juste a coté de l’entrée et commencèrent une ridicule mascarade de gens qui lisent . La chance me souriait peut-être enfin. Mon visage devait à présent affiché une crispation intense mon cœur battait la chamade et ma respiration se faisait haletante. Je me précipitais dans un des coin les moins visités de la bibliothèque, la partie orientaliste et me faufilais entre les rayonnages. La tentant de reprendre le contrôle de mon souffle je me débarrassait de mon jupon et de mon manteau.
Sortait ma petite dague, qui eu cru que cette objet décoratif mais au tranchant implacable me servirait un jour, Et je coupais à grand regret la moitié de ma chevelure flamboyante trop reconnaissable. Je dissimulais le reste sous un béret gris sombre et retirais de ma valisette le sac dans lequel se trouvaient mes effets . Cela devrait suffire je ne pouvais rien faire de plus pour le moment. Je reprenais la direction de la sortie en prenant le temps de dissimuler les trace de mon passage entre un mur et une bibliothèque.
Il était grand temps de prendre la poudre d’escampette mais j’étais assez nerveuse pour mettre la puce a l’oreille d’un aveugle, mon renouement avec la vie extérieur avait été trop rapide et par là un peu trop violent. Je me permettais donc quelques instants de répit assise a une table faisant semblant de lire un énorme ouvrage d’enluminure, doucement mes muscles se détendirent et je reprenais un respiration calme et contrôlée. Je devais a tout prix réussir et c'était surement la meilleur chance qui me serait donné. Je me levais ajustais mon sac en bandoulière pour qu’il pende correctement sur ma taille, ramassais un tas de papier qui avait été abandonné la par une étudiante ainsi que le bouquin que j’avais feins de lire et marchais sur la porte d’un pas aussi nonchalant que possible, je croisais l’un des hommes sur mon chemin qui ne m’accorda pas un regard, il avait l’aire préoccupé.
Je passait devant le deuxième qui ne fut pas plus attention à moi ,ses yeux braqué sur les rayonnages à la recherche de quelque chose… Quand je fut au bout du petit couloir qui menait à l’antichambre de la bibliothèque j’entendis une voix d’homme questionner une étudiante pour savoir si il y avait une autre sortie. L’étudiante répondit par la négative. A par si les fenêtres pouvaient être considérer comme une sortie il n’y avait qu’une porte.
Je laissais derrière moi mes craintes et le manteau d’ombre et de plomb qui m’avait atterrée ces dernier mois. Dehors le ciel s'était couvert et il pleuvait à grosses gouttes. J'accueilli avec délice cette eau glacé sur mon front chaque goutte me faisait l’effet d’une montée d’adrénaline, je revivais .
Qu’importe si je laissais toutes mes sécurités, qu’importe si j’étais seule au monde qu’importe si l’être que je savais être mon autre s’était débattus ardemment pour que je l’oublie, j’avais le monde entier à mes pied, la liberté et de vaste horizons qui seraient sûrement plus claire.
Je n’étais plus le pantin de quiconque.
Je me dirigeais le sourire aux lèvre vers mon prochain départ, et le son d’un locomotive en partance accompagna mes pensées.
2009/04/30
Victor...

Nouveau chapitre:
Quelqu'un pleur surement quelque part, quelqu'un rit surement aussi.
Il y a tant de chemin qui ne mène nul part, qui nous emmène et nous égare.
Tant de silence incontrôlé, de murmures trop violemment crachés.
Des Maladresse, des sans adresse, des regards perdu, des sentiments brulés.
Il susurre un vent de dégoût sur une mer d'immondice.
Vomitive assemblé qui déferle en marées.
Je ne suis pas satisfaite.
2008/12/24
départ.
Je danse tel un pantin à la cadence de vos cils.
Prisonnière de vos lèvres, Je danse sur vos mots.
Une souffrance opaline teinte sous vos faux pas
Sifflement suraigu qui fausse le masque
que vous portez pour moi.
Je fus tantôt naïve, tantôt ingénue
Mais je ne suis plus dupe de tous vos stratagèmes.
Bien enamourée de vos fariboles
Je briserais ma prison de verre
Je consumerais
Jusqu'à extinction les sentiments
que votre joli minois éveille en moi
Je ne serais plus votre oiseau chanteur.
Très cher flatteur,
l'amante se fait absente et ce dès cette heure.

2008/11/30
Mais en moi les choses avaient déjà changées, j'avais soigneusement remis a plats chaque évènements, m'étais renseigné a grande peine sur mon tuteur, ses ennemis et puis sur ceux que nous appelons communement les sans visages c'est cinque êtres qui agissent dans l'ombre et tire les ficelle du monde au dépend de tous les organisme qu'on a pu tenter d'établire pour donnée un semblant d'égalitée a ce monde dans lequel on survit plus que l'on ne vit.
Le noms des sans visage pour ceux qui en savent plus est "les cardineaux" J'igore encore aujourd'huis ce que cela représent vraiment au fond. Mais j'en reviens a ce jour de soleil ce 7 novembre étrange ou il faisait presque doux pour la premiere fois depuis si longtemps me semblait 'il...
2008/11/21
confessions
Il n'avait pas voulu quitté les lieux. Il se sentait si misérablement lâche, une créature qui ne pouvait même pas se venter d'être munis d'une essence propre. Il se savait pourchassé et traqué, ce qu'il avait fait était grave, très grave, il s'était retourné sur la main qui était a l'origine de sa création .
Il se souvint, avant qu'il ne soit prêt a accomplir ce pourquoi on l'avait fait, quand il était encore en apprentissage, un jour une des cardinaux lui avait expliquer par une métaphore ce que représentait et impliquait la trahison envers eux, Il lui avait lu "la création" dans la Bible, et lui avait dit que trahir son créateur cela revenait a trahir son dieu, son univers, son corps, tous ce qui lui permettait de vivre. Que cela entrainerait la destruction total de se qui le rattachait a sa misérable petite vie terrestre. Il avait alors cité un autre extrait: J’abattrai le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant !
On l'avait crée pour comprendre être exceptionnellement efficaces et intelligent, il ne lui avait pas été difficile de percevoir les sous entendus que portait ce message. Et Pourtant il avait fait exactement ce qu'il s'était jurer de ne jamais faire au dénis de tous bon sens, il avait ruiné toute sa presque existence pour le fruit d'une mission qui lui faisait ressentir des choses étranges.
Faire battre un organe dont il n'avait jamais remarqué l'existence avant, son cœur. Son cerveaux qui avait toujours fonctionné a merveille, se brouillait et disfonctionnait régulièrement, des idées non commandées venaient brouiller sa vue, Elle apparaissait dans chaque ombres chaque silhouettes, sa voix tintait en tous lieux et venait même rompre la quiétude de ses nuit. Lui qui ne connaissait pas le rêve s'était mis a rêver. Il avait rêver d'elle six mois durant six mois ou il n'osait plus dormir de peur de la voir encore! Six mois ou chaque jours il repartait attendre sur se banc. Le regard qu'elle lui avait lancé ce soir là le hantait, il n'avait pas su a l'époque que ça serait Elle, et quand il avait vu sa photo dans l'ordre de mission une fois encore son cœur s'était manifesté il aurait été la chercher directement pour en finir mais comme si le hasard ne s'acharnait pas déjà assez a lui faire perdre la raison,on lui avait interdit d'approcher sa maison. Il avait tenté de la suivre mais cette fille avait une armée d'homme qui la suivait partout et cette écervelée ne voyait rien. Alors il avait remis tous ses espoirs sur le message qu'il lui avait laissé dans un moment de folie ce premier soir ou il l'avait vue. Dés lors comment aurait il pu cesser d'y penser alors que chaque jour dés l'aube et jusqu'au crépuscule il allait l'attendre dissimulé alentour du fameux banc.
Le temps étais passé et pour ne plus y penser il avait lu beaucoup durant ces longues heures d'attentes , cela n'avait absolument pas fonctionné mais au moins ça lui avait permis de ne pas courir jusqu'à elle. Il avait tenté de se convaincre qu'il était victime d'une anomalie et que cela passerait avec le temps. Et puis, quand il avait finis par espérer qu'elle ne viendrait pas, qu'elle ne l'approcherait pas, qu'il n'aurait jamais à achever cette mission , quand il s'était mis a nourrir l'espoir fou que lui aussi, aussi inhumain soit il, goutait du bouts des doigts a ce que les livre appel l'amour et ce même si dans son histoire a lui il finissait seul, Elle vint au rendez-vous...
2008/11/04
souffrance
Ce qui n'est pas là ne peu pas faire de mal certes mais le manque d'une chose peu faire souffrir
atrocement.

Vous ne le savez sans doute pas. Ou peut-être justement le savez vous trop bien ce qui expliquerais bien des choses qui donnerait un sens nouveau a bien des équations. Mais les équations restent en suspend, toujours aussi insoluble a mes yeux. J'ai l'impression de me répéter sans cesse, mais je suis fatiguée, exténué de tout ça. De ces fuites ces absence ces semblant ce non dit, et c'est sur dit, Oui surtout eux. Je meurt de rage de dégoût de haine, d'exécration face a ces sur dit. Ces mots répétés sans cesse battants mes tympans jusqu'à les faire exploser . Mon cerveaux qui fais pression sur ma boîte crânienne les os qui craque peu a peu et une folie dépressive qui n'emporte. Ne reviendras tu donc jamais? Les seringues et diagnostique de pro pourront défiler autant qu'il le faudra rien de me convaincra de ton inexistence toutes ces choses ne feront que venir souligner ton absence. La présence imposante, ta présence, la seule dont je puisse me languir de la sorte. ils pourront m'attacher me brûler vive m'enfermer me droguer, employer leurs machines a foison pour me faire oublié. Rien tu vois? Rien ne m'arrachera ces piteux souvenir, une sensation une odeur un souffle glacé sur ma nuque. Dissimule toi tant que tu le voudra, un jour viendra ou je te retrouverais même si je doit allez en enfer pour ça!
RÉPONDS MOI!
2008/10/23
pourquoi?

Le givre couvrent le sol implacablement. L'hiver a prit place, je t'attend toujours.
Je suis seule depuis ci longtemps ton souvenir m'est si fuguasses. je voudrais te serrer dans mes bras mes seul les traces de on image me serrent le cœur a en mourir. Je me souviens de la fermeté de ta main quand tu m'as éloigné de toi, je me souviens du parfum de tes craintes. Je voulais te bercer sur mon cœur mes tu m'as évincé. aujourd'hui je me languis de rien qu'une preuve de toi.
Je voudrais juste t'effleurer du bouts des doigts te sentir sur mon cœur. prisonnière de tes yeux.
Comme e dernier soir, j'étais toute a toi incapable d'un mouvement les sens ensevelis pas l'arôme de tes lèvres. Tu m'as laissé t'embrasser cela veut bien dire que tu ne me hais pas. alor pourquoi me faire croir que tous cela ne fut qu'illusions? que regrette tu au point de vouloir m'effacer ,et t'effacer des cette réalitée qui est la mienne?
[a suivre.]
2008/09/23
Reviens moi
plus que quelque jours . La date approche. Je n'ai rien compris et quand bien même je suis folle je tiens a cette histoire que je me suis inventé, ou peut-être pas. Les moyens m'échappes les raisons aussi, mais je sais que je ne peux pas avoir tout a fait tort. Sinon pourquoi depuis mon réveille est il la? Ce tuteur inconnu. et pourquoi y'a t'il toujours cette armée d'hommes en noire qui me suivent.
Paranoïaque ébranlée par ma sois disant maladie et par cet enlèvement. Pour une forte rançon sois disant... Prenez moi pour une conne, tant que ce sera le cas je mènerais ma danse. jouons le jeux si ça me permet d'être un peu libre. Mais au fond de moi je sais que je ne suis pas folle. Je n'ai rêvé ni ces laboratoires souterrain, ni cet homme inhumain, cet créature servile et enchanteresse qui ma enchainée d'un regard. Je n'ai pas rêvé ces trois homme spirituel qui flottaient tel des fantôme autour de chambres stérilisée de testes. Je n'ai pas rêvé les testes, les seringues, les hurlement , l'aquarium. Et Je me refuse d'avoir rêvé cette fuite salvatrice dans tes bars pâle. Je refuse de croire que tes mots était fictifs. Je ne sais pas ce que tu m'as fais pour que ces souvenirs sois si floues et presque inexistant, mais je refuse d'oublier!
Je me souviens de ta détresse, et de cette larmes unique qui a glissé jusqu'au creux de tes lèvres ou je l'aie cueillie. était-ce la mon erreur? tu m'as éloigné de toi car j'ai succombé a ma faiblesse?
je t'en prie...
Reviens moi.

2008/08/21
Quelque soit le chemin que tu empreinte tu me laissera derrière toi et tu aura bien raison. J'ai été monstrueux, j'ai été ta souffrance et tous mes regrets n'y changeront rien, mais j'aimerais tellement que tu ouvre les yeux et que tu repose sur moi le même regard que ce soir là, a coté de ce banc. Tes yeux étincelants dans lesquels je lisait tant de choses. Choses qui m'ont effrayé. après tous je ne suis pas comme toi je ne suis qu'une poupée sans âme qui aspire aux feu de la tienne.
Mais je ne te ferais que souffrir, je ne veux pas te retenir juste te libérer de la cage dans laquelle je t'aie mise si longtemps...

2008/08/15
fine pluie

sur un rythme étrange. J'étais glacée, enlacée par le froid bien que celui-ci me sembla irrégulier.
Je savais ma conscience retrouvée que la douleur referait surface. Je me laissai donc flotter à la limite du néant me concentrant sur mes sensation interne. Le battement de mes douleurs était distinct de celui de mon sang dans mes tempes, et un troisième battement beaucoup plus
rapide et irrégulier venait sans cesse interrompre l'équilibre que je tentais en vain de créer. L'inconscience s'échappait peu à peu les sensations se précisait, je senti d'abord les douleurs revenir au galops suivies de prés par ce froid irrégulier et un pression désagréable sur les côtes et les cotés. Doucement je tentais d'entendre, le troisième rythme qui m'avait sortie de ma confortable inconscience n'était autre que celui d'une pluie fine mais battante dont les goûtes venaient apaiser doucement mes souffrance.
Le chant de la pluie, plus magnifique que jamais me perçait doucement rythmé par les bruit de pas qui plus fort semblait marquer la cadence. Des bruits de pas? c'est Alors que j'identifiais enfin les pressions sur mes côtes, on devait me porter, ouvrir mes yeux n'aurait servit a rien , ma cécité ne disparaitrait pas en a claquement de doigts. Les mouvement m'étaient une torture insurmontable, pas question de chercher a tâtons des indice sur la personne qui me portait.
Et soudain mon dernier sens se réveilla, mes narines se rappelèrent soudain leurs utilité et une odeur entêtante emplit mes poumons un odeur que je connaissait , elle me faisait tourner la tête, s'était lui...
2008/02/13
Claire de lune

je m'essayais sur la couchette trop dur qui me servait de lit, m'enrobais dans mes bras et tendait mon âme entière a mes sensations retrouvées,je sentais l'aire dans mes poumons la chaleur étouffante de la pièce, la chemise en ce tissu plastique qui m'irritait la peau, pas un souffle d'aire sur ma peau, et ma gorge sèche et douloureuse. Je m'essayait alors tous doucement a faire fonctionner mes corde vocale, une petit sifflement rauque quitta ma gorge m'arrachant des larmes de douleurs. Je tentais de me calmer , reprenant doucement mon souffle. Un bruit de métal résonna, un cliquetis dans la serrure je m'allongeais le plus naturellement possible .
La porte grinça, j'entendis une souffle étrangement lent, je me sentis épiée et soudain mon corps quitta la banquette maintenue contre un torse par des bras chauds et ferme, l'étonnement me fit émettre un autre croassement douloureux que la personne qui m'emmenait ne sembla pas remarquer, je suivit plus ou moins l'avancement l'atmosphère devint de plus en plus froid et bientôt je senti un vent implacable fouetter mes plaies et une plus glacé me transpercer la peau.
Je me senti soudain très lasse et sombrai dans l'inconscience la plus totale...
2007/12/15
Enygmes
Apres si longtemps et malgrer ton les hurlement désepérer de mes instinc j'étais venue, malgrée les évenement qui l'avait amener a me laisser ce mesage, malgré ce noeud si serrer dans mon estomac que le gout brulant de la bile m'éfleurait les lèvres... Qu'elle idiote créature étais-je devenue, moi, l'oseau rare impétueu et sauvage je me retrouvais enchainer au fond d'une cage sans même comprendre comment cela avait il put arriver...

Vous revoir...
Le vent s'était déchainer cette nuit là fidele au post il était revenu malgrée tous le temps qui s'était écouler il craignait toujours de la voir apparaître sur se banc un soir, il le craignait autant qu'il l'espérait... Revoir sa silouhete danser dans l'ombre revoir la flamme de ses yeux se déchainer, et ses fossettes se déssiner. Pourquoi eut il fallut que ça soit elle, elle l'unique elle l'hérrance... Le contrat était signé, il ne pouvait faire marche arrière il aurait aimé ne jamais naitre depuis qu'il savait ce qu'il devrait faire de cette vie... Mais se soir là tous paraissait encore plus sombre et triste, elle étais là, avant même qu'elle n'ai fait mouvoir sa délicate silouette, l'odeur de sa peau étais venu le troubler. Aussi violement que les rafale de vents qui se déchainaient autour d'eux. A peine avait il réussita reprendre ses esprits, se libérant de l'étreinte de l'arôme, elle le regardait, il voulu avancer mais ne pu s'y résoudre mais a peine l'iddé de fuire l'avait il éfleurer qu'il sentis le lourd poids de ses "mots" s'enrouler autour de sa gorge comme pour l'étouffer. Enfin il s'avancea fixant le sol, tel un codamné qui fait son dernier trajet, il prit place sur le banc a ses cotés, inspira profondément afin de calmer les palpitation de son ame, Il devait etre ferme! -"tu es venue"?
2007/12/13
vent, et plumes
"tu a fini par venir."
2007/10/22
Absence
Je faillit tomber a la renverse , elle étais couché au millieu du carlage apres avoir hurlé a la mort et elle me demandait ce que je faisait là?! Elle se releva :"c'est toi qui a fait tomber la bouteille de lait? je te connaissais moin maladroite" Elle faisait comme si de rien était, je la détaillait, inquiéte. " Emanuelle? que t'es il arrivée? tu a hurlé et quand je suis arrivé tu étais allongé par terre, ça tu dois bien t'en souvenir? " Elle me regarde soudain surprise, comme si elle venais de réalisé qu'en effet elle s'étais trouvé au sol un instant plus tot mais qu'elle n'arrivais pas a y croire.
"Au sol? "Elle semblais presque inquiète a présent, et regarda autour d'elle curieuse et suspicieuse a la fois. " Comment me serais-je retrouvée au sol, ce n'est pas possible... Mais il est vrais que je viens juste de me relever..."L'inquiétude qui envhaissait son visage m'interppella bien plus que son incrédulitée.
"tu ne te souviens pas? Pourquoi as-tu criée?" elle tournais la tete vers la fenêtre l'aire méditatif et perplexe, et c'est la que je remarquai pour la premiere fois l'empriente écarlte sur sa nuque.
Mon esprit recommenceai a divaguer mais sur des terrain bien plus glissant que l'hypothese d'un voelure cette fois...Je me retirai en silence, respectant celui de mon amie...
Aujourd'huis encore je me souvien de ses traits tendu et inquiet, nous n'avons jamais reparlé de cette incident par la suite, d'abbord par crainte, ensuite car il était trop tard, elle disparut a son tour de ma vie quelque semaines apres l'incident, je ne l'aie jamais revue. A l'époque j'en avait beaucoup douté, bien que me persuadant que je devenais folle, Mais aujourd'hui j'en ai la certitude, ce n'est pas lui qui était venu la rechercher, il n'as jamais voulu m'en dire plus, mais qui alors?