
La lumière a quitté mes yeux au fond de ce sombre cachot, quand bien même j'eus marquer d'une croix chacun de mes réveilles, ou que je me sois obstiné a décompter chacune de mes escapades somnambules dans ces étranges pièces ce malgré la camisole chimique qui me plongeais dans un abime brumeux, le temps me filait entre les doigts. Ils prenaient un soin particulier a m'aider à en perdre toute notions. J'aurais été incapable de dire combien de temps s'était écouler depuis qu'Il m'avait emmené ici un mois? un ans? ma tête avait été rasé et en palpant doucement mes bras et mon dos je sentais chaque trace, de chaque seringues, les brulure des diodes, les cicatrice laisser pas le scalpel su le haut du crane et l'absence de souvenir qui me déchirait le crane... Que s'était il passé? Que me voulait-on et toujours cette même question... Pourquoi moi? Pourquoi Lui?... Je ne voyais plus rien,je ne voulais plus voir mais j'entendais bien et une lucidité inhabituelle m'avait prise, avaient ils oublier d'y mettre la dose?
je m'essayais sur la couchette trop dur qui me servait de lit, m'enrobais dans mes bras et tendait mon âme entière a mes sensations retrouvées,je sentais l'aire dans mes poumons la chaleur étouffante de la pièce, la chemise en ce tissu plastique qui m'irritait la peau, pas un souffle d'aire sur ma peau, et ma gorge sèche et douloureuse. Je m'essayait alors tous doucement a faire fonctionner mes corde vocale, une petit sifflement rauque quitta ma gorge m'arrachant des larmes de douleurs. Je tentais de me calmer , reprenant doucement mon souffle. Un bruit de métal résonna, un cliquetis dans la serrure je m'allongeais le plus naturellement possible .
La porte grinça, j'entendis une souffle étrangement lent, je me sentis épiée et soudain mon corps quitta la banquette maintenue contre un torse par des bras chauds et ferme, l'étonnement me fit émettre un autre croassement douloureux que la personne qui m'emmenait ne sembla pas remarquer, je suivit plus ou moins l'avancement l'atmosphère devint de plus en plus froid et bientôt je senti un vent implacable fouetter mes plaies et une plus glacé me transpercer la peau.
Je me senti soudain très lasse et sombrai dans l'inconscience la plus totale...
je m'essayais sur la couchette trop dur qui me servait de lit, m'enrobais dans mes bras et tendait mon âme entière a mes sensations retrouvées,je sentais l'aire dans mes poumons la chaleur étouffante de la pièce, la chemise en ce tissu plastique qui m'irritait la peau, pas un souffle d'aire sur ma peau, et ma gorge sèche et douloureuse. Je m'essayait alors tous doucement a faire fonctionner mes corde vocale, une petit sifflement rauque quitta ma gorge m'arrachant des larmes de douleurs. Je tentais de me calmer , reprenant doucement mon souffle. Un bruit de métal résonna, un cliquetis dans la serrure je m'allongeais le plus naturellement possible .
La porte grinça, j'entendis une souffle étrangement lent, je me sentis épiée et soudain mon corps quitta la banquette maintenue contre un torse par des bras chauds et ferme, l'étonnement me fit émettre un autre croassement douloureux que la personne qui m'emmenait ne sembla pas remarquer, je suivit plus ou moins l'avancement l'atmosphère devint de plus en plus froid et bientôt je senti un vent implacable fouetter mes plaies et une plus glacé me transpercer la peau.
Je me senti soudain très lasse et sombrai dans l'inconscience la plus totale...
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