2007/10/22

Absence

Sur le moment le sens de ce qui se déroulait m'as tous simplement échappé, je ne voyais que le fin papier déchiré très nettement et puis se bruit ce crissement atroce et aigu qui me percerait les tympans...Un cris? Oui il s'agissait bien d'un cris ne pouvant me résoudre a abandonnée l’énigme du message codée je glissait les deux morceau dans l'ample poche de mon peignoirs que je resserrais autour de moi avant de me diriger a grand pas vers la cuisine, d’où semblais provenir cette abominable cris aigu, mais celui-ci s’arrêta nette bien avant que je n'aie atteins le couloir, quand je passai enfin la porte, je cherchais du regard le cadavre, le meurtrier , l'horrible chose qui avait provoquer ou produit se cris, mais rien de tell, Emmanuelle ma colocataire, était évanouie a meme le sol, je ne m'inquiétais que brièvement son opulente poitrine soulignais chaque mouvement de ses poumons, elle étais sauve, pas de commotion visible, ni de sang. Juste une jeune femme allongé sur le carrelage en damier de la cuisine le visage encadré de ses habituelle boucle folles d'un noir de jais. je m’abaissait et portai ma main a ses joues, brulantes avant de tapoter doucement c'est dernières pour tentée de la réveiller... Qu'est ce qui avait bien pu provoqué ce cris atroce qui me semblais n'avoir jamais existé tans il avait été bref, brièveté qui ne m’apparus que maintenant, tout cela s’était passé si vite. Déjà elle revenait a elle je l'aidais a s'assoir sur le carrelage la questionnant du regard, tout en me battant avec moi même pour garder mon esprit en bride, non "Il" n'étais pas revenu.... enfin elle parlait: "he bien? que ce passe t il que fais tu en peignoir dans la cuisine a une heure pareille?"
Je faillit tomber a la renverse , elle étais couché au millieu du carlage apres avoir hurlé a la mort et elle me demandait ce que je faisait là?! Elle se releva :"c'est toi qui a fait tomber la bouteille de lait? je te connaissais moin maladroite" Elle faisait comme si de rien était, je la détaillait, inquiéte. " Emanuelle? que t'es il arrivée? tu a hurlé et quand je suis arrivé tu étais allongé par terre, ça tu dois bien t'en souvenir? " Elle me regarde soudain surprise, comme si elle venais de réalisé qu'en effet elle s'étais trouvé au sol un instant plus tot mais qu'elle n'arrivais pas a y croire.
"Au sol? "Elle semblais presque inquiète a présent, et regarda autour d'elle curieuse et suspicieuse a la fois. " Comment me serais-je retrouvée au sol, ce n'est pas possible... Mais il est vrais que je viens juste de me relever..."L'inquiétude qui envhaissait son visage m'interppella bien plus que son incrédulitée.
"tu ne te souviens pas? Pourquoi as-tu criée?" elle tournais la tete vers la fenêtre l'aire méditatif et perplexe, et c'est la que je remarquai pour la premiere fois l'empriente écarlte sur sa nuque.
Mon esprit recommenceai a divaguer mais sur des terrain bien plus glissant que l'hypothese d'un voelure cette fois...Je me retirai en silence, respectant celui de mon amie...
Aujourd'huis encore je me souvien de ses traits tendu et inquiet, nous n'avons jamais reparlé de cette incident par la suite, d'abbord par crainte, ensuite car il était trop tard, elle disparut a son tour de ma vie quelque semaines apres l'incident, je ne l'aie jamais revue. A l'époque j'en avait beaucoup douté, bien que me persuadant que je devenais folle, Mais aujourd'hui j'en ai la certitude, ce n'est pas lui qui était venu la rechercher, il n'as jamais voulu m'en dire plus, mais qui alors?

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