2007/07/31

chapitre premier

Octobre
jamais la mélodie envotante du vent d'ocobre n'avait semblé plus entetante que la nuit de notre rancontre, ce n'était pas une rencontre ordinaire, et comme dans les livre d'aventure dans
lequels je me plongeais pour ne pas voir, cette rancontre allait boulverser bien des choses, et pas seulment la vie de deux personne aussi insignifiantes que nous, petit a petit, nos yeux
se sont fondu les uns dans les autres et la vison imparfaite n'en a fait que ce préciser d'avantage,
je ressent aujourd'huis encore l'étreinte de tes senses qui se débattaient sans cesse
pour échapper a l'inéluctable, mais nos route étaient tracée et solidement entrelacées
et ce sans se soucier de sentiment, le destin n'a que faire des sentiment de ses pions,
il les déplacent car la fatilitée fini toujours par vaincre... Et ce malgrée toute réticence, tu t'étais lancée dans un combat perdu d'avance un combat ou je t'aie laissé si seule que nous en sommes ou nous en sommes une impasse, les liens on été légerement étherrer mais quoi que je fasse malgrée tous le mal que tu t'aie donné, le destin aura tot fait de reprendre ses droits et me ramener sur son juste chemin, tes larmes et tes espoires aurons été vain.
Je revois tes yeux rougis de fatigue et tes mains crispé d'avoir creuser comme a meme la roche a mains nues, ces longue main gracieuse qui emmenais autres fois, les gens qui en écoutaient le pianotemment singulier bien plus loins que nul autres avant toi, toi dons les songes on traduits les mélodies les plus sensuel qu'il m'aie été donnée d'entendre, les instrument de ta réussite avant notre rancontre étainent recrovillées écorchées, et comme éteintes, sourdes a tes propre notes et paralisée a tes ordres de reprendre leurs danse éfrénées ...


Des main refroidie par le temps, un coeur devenue cassant , qui n'as fait que s'éfritter devant ma froideure a tes appel, a tes demande, a ton suplice, Pardonne moi mon amie si en se jours je n'aie meme plus le coeur a pleurer pour ces chose qui t'étaient si chere, pardonne moi.

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