Du vide et du silence, du sable et du vent,des souvenirs ,des rêves ,Des murmures a la lune et puis des regrets, une longue attente dans le noir, ou dans une luminositée aveuglante, sufoquante
Tel est, l'absent...
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Encore une larme a coulée sur ma joue, en ses heures sombres, ou l'espoir semble interdit, J'ai fermé les yeux sur se que tu m'as laissé. Tous est lucide, la route a prendre, les moyen d'enfin arriver a notre but, mais pourtant, c'est maintenan que je suis prise d'hesitations, de questionements et de vertiges. C'est pourquoi cette larme a coulé C'est pourquoi j'ai fermé les yeux. Au fond de moi, j'ai senti cette chose palpiter si souvent que je m'y étais habitué, jamais je n'aurais pensée qu'elle viendrais un jours a faire plus. Je me suis assise seule sur ce banc, l'automne étais là depui peus, j'avais les yeux fermés et j'était terasser par un démons intérieur. Un démon? c'est ce que je pensais a l'époque, je n'avais pas encore compris tous ce que tu avait tenté de me faire comprendre en vain, et voilas qu'une palpitation irréguliere me plogeais dans un monde inconnu! Un lieu étrange que j'avait conciencieusement écarté de mes pensées sans meme m'en rendre compt, et j'avais a nouveau plongé tous mon etre de ce Chaos qui remettais tous en question. Chaque petit détails que je considérais comme la "Veritée" se retrouvait rayer impitoyablement, comme un mirroire que l'on brise, et dans se vide des reperes auquels je m'étais habituée, je me retrouvai seule, seule face a cette chose a laquelle j'osais a peine songer, seule face a ... aujourd'huis encore ce mots me troubles, seule face a mes rêves.
Cette seule choses que personne ne pouvait m'enlver et qu'ils avait pourtant réussit a me subtiliser si longtemps,...
Le noir derriere mes paupiere close, mes main glacées, posées sur mes genous qui toradaient l'étoffe de mon long meanteau, le silence, et toi, toi l'absent toi qui devait mais qui n'hantait pas mes reves inexistant, toi que je ne demandait qu'as découvrir tout en sachan qu'a jammais, tu resterais absent...
Tel est, l'absent...
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Encore une larme a coulée sur ma joue, en ses heures sombres, ou l'espoir semble interdit, J'ai fermé les yeux sur se que tu m'as laissé. Tous est lucide, la route a prendre, les moyen d'enfin arriver a notre but, mais pourtant, c'est maintenan que je suis prise d'hesitations, de questionements et de vertiges. C'est pourquoi cette larme a coulé C'est pourquoi j'ai fermé les yeux. Au fond de moi, j'ai senti cette chose palpiter si souvent que je m'y étais habitué, jamais je n'aurais pensée qu'elle viendrais un jours a faire plus. Je me suis assise seule sur ce banc, l'automne étais là depui peus, j'avais les yeux fermés et j'était terasser par un démons intérieur. Un démon? c'est ce que je pensais a l'époque, je n'avais pas encore compris tous ce que tu avait tenté de me faire comprendre en vain, et voilas qu'une palpitation irréguliere me plogeais dans un monde inconnu! Un lieu étrange que j'avait conciencieusement écarté de mes pensées sans meme m'en rendre compt, et j'avais a nouveau plongé tous mon etre de ce Chaos qui remettais tous en question. Chaque petit détails que je considérais comme la "Veritée" se retrouvait rayer impitoyablement, comme un mirroire que l'on brise, et dans se vide des reperes auquels je m'étais habituée, je me retrouvai seule, seule face a cette chose a laquelle j'osais a peine songer, seule face a ... aujourd'huis encore ce mots me troubles, seule face a mes rêves.
Cette seule choses que personne ne pouvait m'enlver et qu'ils avait pourtant réussit a me subtiliser si longtemps,...
Le noir derriere mes paupiere close, mes main glacées, posées sur mes genous qui toradaient l'étoffe de mon long meanteau, le silence, et toi, toi l'absent toi qui devait mais qui n'hantait pas mes reves inexistant, toi que je ne demandait qu'as découvrir tout en sachan qu'a jammais, tu resterais absent...
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