2007/09/28

-l'aube-

prologue: ( version 1.1)

Le crépuscule, avait porté mes pas jusqu'a un banc, étrangement attirant, la lumiere sans doute, ça avait quelque chose de mystérieux qui me poussa a m'assoir, se fut sans doute ma premiere erreure, la deusieme fut de me retourné quand je sentis le désagréable effet que produit un regard dans la nuque, j'ai croisé ton regard, mes yeux plein de haines et le temps que je comprenne il était trop tard.
Enchainer a mes sense, et prisonier de tes yeux, j'étais livré pied et point liés a ton incopréhention ta peur et ta fuite. Ma curiausitée l'emportait sur la logique et l'esprit, ce qui me portait
a ce pourquoi j'étais venu, aveugle et sourd a se que me criait mon bon sense je me laisait emportée par le courant de tes pas qui t'emmenaient loin de moi, ils avaient bien raisons ...
je ne savais pas encore que ça serait toi, je ne savait pas encore ce que tu représentais aux yeux des Trois cardineaux ...




l'aube étais brumeuse, comme chaque jours depuis pres de trois semaine, une brume étrangement bleutée qui persistait j'usqu'au début d'apres midi avant d'etre dissipée par un implacable soleil glacé et un ciel sans nuages.
le temps semblais s'allonger et s'étendre dans un silence que seuls les bruits des industruies alantour couvraient. L'hiver était une saison presque inconnue a Thanolys qui vivait dand un cercle étenellement partagé entre de frais automnes et de chauds étés .
La clope ricocha sur les pavée avant de simmobiliser a quelques centimetre du pied de l'homme assit là, d'un geste nonchalant il écrasa la cigarette encore fumante tout en lançant un regard peu amenne a la vulgaire jeune femme toute de rouge vétue, qui s'éloignait dans un ondulment de hanches provoquant. Deux semaines, deux semaines ou chaque matin a l'aube il venais sur ce banc, les senses aux aguets espérant la revoir, espérant comprendre, l'étrange sentiment qui avait mis en éfusion tous ses senses, cette sentation étrange d'etre écraser sous un poid de plombs, les entraille congelée, la respiration coupée, les coeure pret d'exploser...
Cette créature banale, et désagréablement humaine avait provoqué tous cela d'un regard, le tous s'étant empiré quand le vent était venu caresser ses cheveux et faire voltiger partout dans l'aire l'étrange arome de sa peau. Ce soir la une curiausitée sans précédent était née en lui, lui qui passait sa vie dans un étrange vide collant qui une fois le premier pas franchis vous colle a la peau jusqu'a la mort, pensait il, mais cette rencontre l'avait non seulment remplis de curiausitée mais aussi de questionement, d'envie, de peur...
Car si désirer une chose ne peux nuire a personne, en perdre la notion du temps, le someil et l'appétit peut par contre réduire la plus résitante des personne en sace d'os croulant, pret a tomber en poussiere en quelque secondes.

Aucun commentaire: