2007/10/03

message personelle

ce sont les rayon d'un timide soleil hivernal qui me réveillerent ce matin là. Les grands rideaux de mousline blanche étaient tirée, et derriere la vitre l'érable rougoyait, d'une façon presque sanguine... Je n'y portai que peu d'attention, j'avais dormis toute habillée et me sentais a la fois froissée et molle, c'est cet instant que ma mémoire choisit pour se manifester, ce regard, ces pupilles dilatées et puis cette craintes de revenir sur mes pas en quete de mes affaires. Un frisson me parcorra l'échine, ce regard me hanterait il longtemps? Je me sentais ridicule, autant pour mon comportement de la veille que pour mes pensée actuelles, riducule et terroriser a l'iddée que peut etre un jour je recroiserais cet inconnu qui avait paru temps en vouloir a ma vie, ma présence, mon existence, Tremblantes de ces émotions mélangée dans mon esprits je décidais de prendre un bain mérité. Laissant tomber mes vetement sur le carrellage froids de la salle de bain je me glissai dans la baignoire dont la structur froide me fit frisoner avant d'allumer a fond le robinet d'eau chaude.
Le contacte brulant de l'eau sur ma peau chassa peut a peut les tentions accumulées depuis la veille.
...

Enroulée dans mon penoire je regagnais ma chambre en traversant le salon, l'évidence ne m'apparu pas de suite, ce n'est qu'une fois dans la chambre que mon esprit me ramena sur mes pas...Je n'avais pas rêvé, sur la table il y'avait mon sac et mon parapluie, je me précipitai vers eux afin d'en vérifier le contenu, pas de bombes ni de poison ni de... Stop, ma parano me rattrappait et le regard de l'inconnu m'avait depuis longtemps dépassé. Je remarquais la présence inhabituelle d'une envloppe de vieu papier craft au fond de mon sac.
L'ambarder que fit mon coeur a la seconde ou mon imagination commencait a courrire a folle allure faillit bien me faire tomber raide, serrant la lettre entre mes doigts je me forceais a reprendre une respiration normal, et a me calemer en prenant garde a bien tenir en bride mes iddées fantasques.
Il fallait que je me reprenne, je ne me reconaissait plus je n'avais jamais réagis de la sorte quelque soit la situation meme pas le jour ou j'ai appris que mon honoré pere avait tué ma mere par empoisonement qu'il étais condamné a la peine capitale et j'étais dorénavant orpheline et multimilliardaire sous la tutelle d'une homme que je n'avais jamais vu, un collaborateur de ma mere d'apres ce qu'on m'en avait dit...
Décider a reprendre l'assurance et le charactere posé qui avaient toujours été miens, je déchirait grossierement l'envloppe afin d'en extraire la lettre...

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