2008/03/07

Minuit

Petit a petit mon crâne devenait trop petit pour mon âme et ma conscience. Il était terrasser par la pression d'étranges sensations qui ne m'avaient encore jamais parcouru.
Mon impuissance face a mes fautes, ma culpabilité et tous ses murmures qui traversaient ma tête me blâmant de mille mort, me maudissant d'être ce que j'étais. Comment ma propre nature en était elle venue a désirer sa propre destruction? je ne comprenais pas j'étais né pour une mission, je l'avais accomplie avec toutes les armes qu'ils avaient mis en moi, j'avais réalisé mon but... Ou étais l'erreur? quelle partie de cette étrange équation avait elle fausser tous le résultat? Et son visage qui me revenait sans cesse... Je ne savais pas a l'époque, Si seulement tu m'offrais ton pardon pour ces souffrance et pour mon ignorance. J'ignorais que le sentiment Etait, j'ignorais ce que cela signifiait et en écrivant ces mots, mon amour, je me hais d'imaginer que si ces sentiments n'avaient pas existé je t'aurais laisser entre leurs griffes...


Je t'avais livré a eux depuis huit mois, Il m'en avait fallu cinq pour prendre conscience de ces chose qui étouffait ma poitrine et figeais mon cœur ...
J'avais observé chaque actions qui m'était donnée d'entre voir, j'avais soigneusement emmagasiné chaque informations qu'ils daignaient me lâcher, je préparais minutieusement ma propre perte mais une partie de moi s'exaltait de sa vie nouvelle... la conscience et la réflexion était née en moi, en même temps que la douleure et l'exaltation telle une initiation a l' Être et a la vie...

La nuit était glacée une fois de plus et se froid était souligné par un vent déchaîné. Employant les armes de mes créateurs contre ceux-ci, j'étais furtivement arriver au cœur de ce lieu damné.
remplaçant le contenu des doses par des produits sans effet j'avais briser les chaînes qui embrumaient son esprit. La pleine conscience de ce que j'entreprenais et de tous ce que cela entraînerait me faisait trembler d'effrois et d'exaltation. D'effrois car jamais je ne ne pourrais finir l'ouvres a laquelle j'aspirai et d'exaltation a cette liberté qui prenait toute son ampleurs et sa réalité en ces étranges instant en ces lieux irréel aux lumières comme mortes.
Au moment venu ils avaient tous sombré, le stratagème avait fonctionné... Mais pour combien de temps? Mes pieds me menèrent directement a elle l'odeur de sa peau embrumant tous mes sens . Lorsque j'ouvris la porte, une nouvelle chose étrange s'empara de mon être telle une main glacée qui empoignait mon cœur. Ma respiration ralentie, je me sentais comme dans un mis sommeil observant l'objet de ma déroute... Le temps m'était compté, cessant toute hésitation j'attrapais délicatement ce petit corps frêle et squelettique. Sa peau pâle était couverte de cicatrices et de bleus ses yeux emprisonné sous de lourdes paupière brunies ses mains finie étaient recroquevillées telle de malheureuses branches malmenées et tordues. Elle était si légère j'avais peur de la briser mais je ne pouvais m'empêcher de la serrer de peur qu'elle ne disparaisse...
Elle ne me pardonnerait jamais. Et au milieu de cette nuit ou je fuyait des larmes pour la première fois roulèrent sur mes joues, se mêlant a la pluie qui tombait a grosses goutes...

1 commentaire:

Anonyme a dit…
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